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La réunion de l'OPEP était porteuse d'espoirs : depuis des mois il était demandé aux pays membres du cartel de 'l'or Noir de prendre des dispositions afin d'endiguer la chute du prix du pétrole. ce dernier a perdu énormément de sa valeur à cause de la surabondance de l'offre qui a inondé les marchés alors que la demande n'a pas grossi dans la même proportion.
La Bourse espérait donc que les pays de l'OPEP optent pour une réduction de la production ce qui aurait artificiellement fait remonter le prix du brut. Il n'en sera rien. Mardi 16 février 2016 l'OPEP a annoncé que la production sera figée aux niveaux de janvier 2016 : un niveau trop élevé pour faire remonter le cours du baril. La décision pourrait toutefois entraîner une stabilisation du prix aux alentours des 30-35 dollars.
La Bourse n'a pas été convaincue par l'annonce : les pays de l'OPEP ont en effet déclaré que cet accord ne serait valable que si d'autres pays producteurs prennent la même décision. Le cartel vise surtout l'Irak et l'Iran. S'ils n'acceptent pas cet accord et ce gel de la production, les pays de l'OPEP ne gèleront pas la leur.
Or, en ce qui concerne l'Iran, difficile de croire que le pays, qui vient de voir être levés les embargos qui pesaient sur son économie et qui a déjà annoncé une forte augmentation de sa production de pétrole pour se relancer, va accepter sans rechigner les conditions du cartel.
La Bourse espérait donc que les pays de l'OPEP optent pour une réduction de la production ce qui aurait artificiellement fait remonter le prix du brut. Il n'en sera rien. Mardi 16 février 2016 l'OPEP a annoncé que la production sera figée aux niveaux de janvier 2016 : un niveau trop élevé pour faire remonter le cours du baril. La décision pourrait toutefois entraîner une stabilisation du prix aux alentours des 30-35 dollars.
La Bourse n'a pas été convaincue par l'annonce : les pays de l'OPEP ont en effet déclaré que cet accord ne serait valable que si d'autres pays producteurs prennent la même décision. Le cartel vise surtout l'Irak et l'Iran. S'ils n'acceptent pas cet accord et ce gel de la production, les pays de l'OPEP ne gèleront pas la leur.
Or, en ce qui concerne l'Iran, difficile de croire que le pays, qui vient de voir être levés les embargos qui pesaient sur son économie et qui a déjà annoncé une forte augmentation de sa production de pétrole pour se relancer, va accepter sans rechigner les conditions du cartel.