L'impact des exactions de Volkswagen concernant le logiciel frauduleux ayant permis à 11 millions de véhicules de passer sans encombres les tests antipollution frappe de plein fouet le groupe automobile. Son action en Bourse a dévissé de 40% depuis la révélation du scandale, son PDG Martin Winterkorn a dû démissionner, et les langues se délient. Des ingénieurs de Volkswagen ont ainsi avoué que le logiciel en question avait commencé à être monté sur des véhicules dès 2008.
Volkswagen pourrait emporter dans la tourmente toute l'industrie du pays, qui a bénéficié du fameux label « qualité allemande » ayant permis aux entreprises outre Rhin de multiplier les records d'exportations. « Je pense que la réputation de l'industrie allemande, la confiance dans l'économique allemande, n'est pas si éprouvée que nous ne soyons plus considérés comme un bon pays pour les affaires », a déclaré Angela Merkel au micro de Deutschlandradio, la radio publique allemande.
Néanmoins, rétablir la confiance ne sera pas facile. Volkswagen devra faire preuve d'une « transparence nécessaire », car il s'agit d'un « événement dramatique qui n'est pas bon ». En espérant que Volkswagen soit le seul constructeur à avoir fauté, et pas la pointe de l'iceberg.
Volkswagen pourrait emporter dans la tourmente toute l'industrie du pays, qui a bénéficié du fameux label « qualité allemande » ayant permis aux entreprises outre Rhin de multiplier les records d'exportations. « Je pense que la réputation de l'industrie allemande, la confiance dans l'économique allemande, n'est pas si éprouvée que nous ne soyons plus considérés comme un bon pays pour les affaires », a déclaré Angela Merkel au micro de Deutschlandradio, la radio publique allemande.
Néanmoins, rétablir la confiance ne sera pas facile. Volkswagen devra faire preuve d'une « transparence nécessaire », car il s'agit d'un « événement dramatique qui n'est pas bon ». En espérant que Volkswagen soit le seul constructeur à avoir fauté, et pas la pointe de l'iceberg.