Durant le mois de juillet, il n’y a eu que 20 jours ouvrables, contre 22 pour le même mois de l’an dernier. En données corrigées des jours ouvrables, le recul n’est plus que de 0,6, ce qui est tout de même bien plus raisonnable. D’ailleurs, même avec cette baisse de près de 10% pour juillet, le marché reste très bien orienté avec une croissance de 5,4% depuis le mois de janvier.
Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’un coup de frein sérieux sur un secteur qui n’avait cessé de connaître une croissance solide ces derniers mois. Et malheureusement, ce sont les constructeurs français qui en souffrent tout particulièrement. Renault connait une baisse de 4,2%, mais cela aurait pu être pire au vu de la contre-performance de Nissan (-23,1%). PSA chute lourdement avec -17,4%.
Mais il n’y a pas que les groupes français qui essuient des pertes sérieuses en juillet. C’est aussi le cas pour Volkswagen, frappé de plein fouet par le scandale des moteurs diesel (-17,3%). D’autres constructeurs ont malgré tout connu de remarquables performances, à l’instar de BMW avec une croissance de 10,3%, Daimler ou Chrysler avec respectivement +5,9% et +3,7%.
Il n’en reste pas moins qu’il s’agit d’un coup de frein sérieux sur un secteur qui n’avait cessé de connaître une croissance solide ces derniers mois. Et malheureusement, ce sont les constructeurs français qui en souffrent tout particulièrement. Renault connait une baisse de 4,2%, mais cela aurait pu être pire au vu de la contre-performance de Nissan (-23,1%). PSA chute lourdement avec -17,4%.
Mais il n’y a pas que les groupes français qui essuient des pertes sérieuses en juillet. C’est aussi le cas pour Volkswagen, frappé de plein fouet par le scandale des moteurs diesel (-17,3%). D’autres constructeurs ont malgré tout connu de remarquables performances, à l’instar de BMW avec une croissance de 10,3%, Daimler ou Chrysler avec respectivement +5,9% et +3,7%.