La croissance des immatriculations de particuliers a été de 6,2% en Europe pour le premier mois de l’année. Une progression encourageante pour l’ACEA, et bien dans la tendance haussière constatée ces derniers mois. En tout, il s’est vendu 1,061 million d’unités. Ce sont l’Italie et l’Espagne qui font figure de bons élèves, avec des croissances à deux chiffres.
La France, bien que largement en-dessous de la moyenne européenne, a tout de même bénéficié d’une progression de 3,9%. C’est plus que l’Allemagne (+3,3%) et le Royaume-Uni (+2,9%). Le marché tricolore de l’automobile est donc bien orienté, même si les constructeurs français font moins bien que bien des concurrents.
PSA Peugeot Citroën affiche une croissance de ses immatriculations de 3,9%, chaque marque du groupe se tenant dans un mouchoir de poche. Le constructeur au lion possède une part de marché de 10,6%, en baisse de 0,2 point. Renault se contente d’une croissance de 0,7% seulement ; le groupe perd 0,4 point sur le marché européen, avec une part de 9,1%. Pour se consoler, on peut toujours se dire que Volkswagen perd 3,8%, avec une part de marché qui passe de 12,9% à 11,7%.
La France, bien que largement en-dessous de la moyenne européenne, a tout de même bénéficié d’une progression de 3,9%. C’est plus que l’Allemagne (+3,3%) et le Royaume-Uni (+2,9%). Le marché tricolore de l’automobile est donc bien orienté, même si les constructeurs français font moins bien que bien des concurrents.
PSA Peugeot Citroën affiche une croissance de ses immatriculations de 3,9%, chaque marque du groupe se tenant dans un mouchoir de poche. Le constructeur au lion possède une part de marché de 10,6%, en baisse de 0,2 point. Renault se contente d’une croissance de 0,7% seulement ; le groupe perd 0,4 point sur le marché européen, avec une part de 9,1%. Pour se consoler, on peut toujours se dire que Volkswagen perd 3,8%, avec une part de marché qui passe de 12,9% à 11,7%.