Fantasque et bouillonnant, Boris Johnson n’en est pas moins très populaire outre Manche, à tel point qu’on lui prête l’ambition de briguer la tête du Parti conservateur pour, qui sait, devenir Premier ministre un jour. Il a pris ce dimanche 21 février une décision qui aura un impact sur son avenir politique ainsi que celui du pays : il se range du côté du non au référendum.
« Je ferai campagne pour partir » de l’Union européenne, a-t-il déclaré. Cette décision a été difficile à prendre : le maire de Londres a longtemps vécu à Bruxelles et il dit « aimer l’Europe ». « Il ne faut pas confondre les merveilles de l'Europe, les vacances en Europe, la nourriture fantastique et les amitiés, etc. et un projet politique qui est en marche depuis des décennies et menace maintenant d'échapper au contrôle démocratique », explique-t-il.
L’accord trouvé cette semaine entre l’UE et le Royaume-Uni n’est pas de nature à modifier les relations entre les deux parties, croit-il, alors que David Cameron déclare le contraire. Ce dernier regrette la décision du maire de Londres ; il estime que la Grande-Bretagne est « plus forte et plus prospère » dans l’Union européenne.
« Je ferai campagne pour partir » de l’Union européenne, a-t-il déclaré. Cette décision a été difficile à prendre : le maire de Londres a longtemps vécu à Bruxelles et il dit « aimer l’Europe ». « Il ne faut pas confondre les merveilles de l'Europe, les vacances en Europe, la nourriture fantastique et les amitiés, etc. et un projet politique qui est en marche depuis des décennies et menace maintenant d'échapper au contrôle démocratique », explique-t-il.
L’accord trouvé cette semaine entre l’UE et le Royaume-Uni n’est pas de nature à modifier les relations entre les deux parties, croit-il, alors que David Cameron déclare le contraire. Ce dernier regrette la décision du maire de Londres ; il estime que la Grande-Bretagne est « plus forte et plus prospère » dans l’Union européenne.