Après l’activation de l’article 50 du traité de Lisbonne, le Royaume-Uni et l’Union européenne auront deux ans pour négocier les termes de la sortie du pays. Or, il faut encore que le gouvernement de Theresa May lance cette procédure… et visiblement, personne n’est prêt à appuyer sur le bouton rouge.
Lors de sa visite à Berlin et à Paris peu après sa nomination, la Première ministre britannique a demandé (et obtenu) du temps auprès d’Angela Merkel et François Hollande. L’article 50 allait attendre le début de l’année prochaine pour être activé, ce qui repousse la sortie effective début 2019. Mais désormais, la presse anglaise évoque une activation qui n’interviendrait qu’à la fin 2017.
En cause : l’impréparation des équipes au pouvoir. Le précédent gouvernement était si sûr de la victoire du maintien dans l’UE qu’il n’a préparé aucune alternative. Les nouveaux dirigeants, notamment les ministres en charge du Brexit, n’ont pas d’équipes suffisamment expérimentées pour négocier avec l’UE, ce qui retarde considérablement le lancement de la procédure. De plus, le Royaume-Uni voudrait attendre le résultat des élections française et allemande en 2017. De fait, le pays ne devrait sortir effectivement de l’Union qu’à la fin de 2019…
Lors de sa visite à Berlin et à Paris peu après sa nomination, la Première ministre britannique a demandé (et obtenu) du temps auprès d’Angela Merkel et François Hollande. L’article 50 allait attendre le début de l’année prochaine pour être activé, ce qui repousse la sortie effective début 2019. Mais désormais, la presse anglaise évoque une activation qui n’interviendrait qu’à la fin 2017.
En cause : l’impréparation des équipes au pouvoir. Le précédent gouvernement était si sûr de la victoire du maintien dans l’UE qu’il n’a préparé aucune alternative. Les nouveaux dirigeants, notamment les ministres en charge du Brexit, n’ont pas d’équipes suffisamment expérimentées pour négocier avec l’UE, ce qui retarde considérablement le lancement de la procédure. De plus, le Royaume-Uni voudrait attendre le résultat des élections française et allemande en 2017. De fait, le pays ne devrait sortir effectivement de l’Union qu’à la fin de 2019…