Paris s'est engagé à investir deux milliards d'euros entre 2016 et 2020 pour le financement des énergies renouvelables : solaire, éolien, géothermie et hydroélectricité. Un effort qui « représente une hausse de 50% des engagements bilatéraux français par rapport aux 5 dernières années », explique l'Élysée dans son communiqué.
La France inscrit cet investissement au travers d'accords avec les gouvernements africains, mais aussi via des collectivités territoriales et des organisations de la société civile. La lutte contre désertification est également au rang des priorités : Paris va ainsi « tripler progressivement ses engagements bilatéraux en Afrique, pour atteindre 1 milliard d'euros par an en 2020 ».
Un des objectifs de cette aide supplémentaire est de faciliter l'implantation de « poches » vertes au Sahara et au Sahel, des lieux où le reboisement, l'habitation et l'électrification seront particulièrement poussés.
D'après la Banque mondiale, il faudrait investir 16 milliards de dollars d'ici 2020 pour épauler les pays africains dans leur adaptation aux changements climatiques.
La France inscrit cet investissement au travers d'accords avec les gouvernements africains, mais aussi via des collectivités territoriales et des organisations de la société civile. La lutte contre désertification est également au rang des priorités : Paris va ainsi « tripler progressivement ses engagements bilatéraux en Afrique, pour atteindre 1 milliard d'euros par an en 2020 ».
Un des objectifs de cette aide supplémentaire est de faciliter l'implantation de « poches » vertes au Sahara et au Sahel, des lieux où le reboisement, l'habitation et l'électrification seront particulièrement poussés.
D'après la Banque mondiale, il faudrait investir 16 milliards de dollars d'ici 2020 pour épauler les pays africains dans leur adaptation aux changements climatiques.