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On compte ainsi 5,5 fois plus de cadres en région parisienne qu’à Lyon… Il se concentre à Paris et la centaine de communes limitrophes 750 000 cadres, ce qui représente un quart de toute la population cadre en France métropolitaine (2,9 millions de cadres en tout).
Cette concentration extrême des cadres en région parisienne a plusieurs raisons : d’une part, l’attractivité de la zone géographique, où l’on dénombre de nombreuses sociétés de services à haute valeur ajoutée, ainsi que des entreprises à haute intensité technologique. Ce sont ces industries qui ont traversé avec le moins d’encombres la crise économique de ces dernières années.
Les 17 bassins d’emploi identifiés par l’Apec ont prouvé leur résistance aux fortes turbulences depuis 2008, où elles ont gagné 2,5% d’emploi salarié en plus, soit 2,1 points de plus que la moyenne nationale. De quoi effectivement attirer et conserver des cadres. L’autre raison est le dynamisme démographique et les services qui y sont attachés. Nantes et Toulouse font ainsi figure de bons élèves grâce à l’implantation de nombreuses entreprises de services et d’industrie.
Cette concentration extrême des cadres en région parisienne a plusieurs raisons : d’une part, l’attractivité de la zone géographique, où l’on dénombre de nombreuses sociétés de services à haute valeur ajoutée, ainsi que des entreprises à haute intensité technologique. Ce sont ces industries qui ont traversé avec le moins d’encombres la crise économique de ces dernières années.
Les 17 bassins d’emploi identifiés par l’Apec ont prouvé leur résistance aux fortes turbulences depuis 2008, où elles ont gagné 2,5% d’emploi salarié en plus, soit 2,1 points de plus que la moyenne nationale. De quoi effectivement attirer et conserver des cadres. L’autre raison est le dynamisme démographique et les services qui y sont attachés. Nantes et Toulouse font ainsi figure de bons élèves grâce à l’implantation de nombreuses entreprises de services et d’industrie.