DSK revient progressivement sur le devant de la scène internationale.
A peine sorti de ses déboires judiciaires, et installé dans son nouveau fauteuil de banquier luxembourgeois, DSK refait ses valises pour la Corée du Sud, menant de main de maître sa carrière de conférencier économique de stature internationale.
Dans le cadre d'une conférence sur l'avenir de l'économie mondiale sponsorisée par le constructeur automobile Hyundai, Dominique Strauss-Kahn se rendra en Corée du Sud le 31 octobre prochain afin de prononcer le discours d'ouverture de cette conférence, parrainée également par l'Instituts for Global Economics, le Bruegel Institute de Bruxelles et le Peterson Institute for International Economics de Washington.
Il sera chargé, une fois de plus, de dispenser ses conseils en matière de leadership économique. Une activité bien entendue grassement rémunérée, mais aussi l'occasion pour DSK de revenir sur le devant de la scène internationale, lui qu'on pensait définitivement mort politiquement et socialement après les affaires successives du Sofitel et du Carlton.
Une conférence comme celle-ci sera également l'occasion pour celui que tout le monde politique avait mis au banc des condamnés après ces récentes affaires, d'administrer quelques leçons d'économies aux grands de ce monde.
D'autant plus que l'ancien patron du FMI est très apprécié en Corée, un pays où il se rendit régulièrement du temps de sa présidence au FMI et notamment en 2010, au moment de la présidence sud-coréenne du G20. C'est notamment lui qui réussit l'exploit de changer l'image détestable de l'instance financière internationale dans la mentalité coréenne.
Dans le cadre d'une conférence sur l'avenir de l'économie mondiale sponsorisée par le constructeur automobile Hyundai, Dominique Strauss-Kahn se rendra en Corée du Sud le 31 octobre prochain afin de prononcer le discours d'ouverture de cette conférence, parrainée également par l'Instituts for Global Economics, le Bruegel Institute de Bruxelles et le Peterson Institute for International Economics de Washington.
Il sera chargé, une fois de plus, de dispenser ses conseils en matière de leadership économique. Une activité bien entendue grassement rémunérée, mais aussi l'occasion pour DSK de revenir sur le devant de la scène internationale, lui qu'on pensait définitivement mort politiquement et socialement après les affaires successives du Sofitel et du Carlton.
Une conférence comme celle-ci sera également l'occasion pour celui que tout le monde politique avait mis au banc des condamnés après ces récentes affaires, d'administrer quelques leçons d'économies aux grands de ce monde.
D'autant plus que l'ancien patron du FMI est très apprécié en Corée, un pays où il se rendit régulièrement du temps de sa présidence au FMI et notamment en 2010, au moment de la présidence sud-coréenne du G20. C'est notamment lui qui réussit l'exploit de changer l'image détestable de l'instance financière internationale dans la mentalité coréenne.