Siège du London Stock Exchange à Paternoster Square
Début décembre 2012, Peter Clarke a en effet annoncé sa décision de se retirer de la direction du groupe Man à l’issue du mois de février 2013. « En dépit de condition d’exercice très difficile depuis 2008 », a-t-il déclaré, « Man a développé trois piliers pour soutenir son expertise de l’investissement : il s’agit des filiales AHL, FRM et GLG ». « [Emmanuel] “Many” Roman a joué un rôle clé dans nos progrès […] et je me réjouis de sa succession », a également commenté Clarke.
« Manny » Roman ne fait pas partie du sérail du Groupe Man depuis si longtemps. Il y a été introduit en 2010, alors qu’il travaillait pour le fonds spéculatif GLG. Ce fond londonien a en fait toujours bénéficié d’une réputation d’aimant à talentsdans le monde de la finance. Parmi ces profils d’excellence, celui d’Emmanuel Roman a tôt fait de se faire remarquer. Après le rachat de GLG par Man, il se fraye un effet un chemin jusqu’aux échelons les plus élevés du groupe.
Il faut dire qu’Emmanuel Roman n’en est pas à son coup d’essai en 2010. Auparavant, il a déjà travaillé pour Goldman Sachs en tant que codirecteur de la division « Worldwide Global Securities ». Après avoir travaillé pendant 18 ans dans cette entreprise, il fut recruté en tant que vice-président de GLG qu’il a sorti de la tourmente d’un scandale financier. Formé à Paris-Dauphine ainsi qu’à l’Université de Chicago, Emmanuel Roman a en fait suivi de parcours d’excellence des spécialistes en mathématiques financières. Il se distingue néanmoins par son intégrité professionnelle. Cette qualité, il a su la faire reconnaître dans la City à la force de ses faits d’armes, mais aussi grâce à sa discrétion.
La compétence et l’éthique d’Emmanuel Roman lui ont pour ainsi dire ouvert toutes les portes. Après avoir travaillé au sein des plus grandes banques d’affaires et compagnies d’investissement, il est devenu numéro 2 de Man en octobre 2010. Sa nomination à la succession de Peter Clarke aurait pu paraître évidente, mais là encore « Manny » Roman a surpris. Alors que son supérieur hiérarchique subissait la pression des investisseurs en raison d’un cours de l’action en berne depuis un an, sa candidature à la direction du groupe a tout de même remporté la confiance du conseil d’administration. Emmanuel Roman est ainsi parvenu à se distinguer une nouvelle fois parmi de nombreux prétendants ; une consécration pour ce dirigeant de 49 ans à qui tout réussi.
« Manny » Roman ne fait pas partie du sérail du Groupe Man depuis si longtemps. Il y a été introduit en 2010, alors qu’il travaillait pour le fonds spéculatif GLG. Ce fond londonien a en fait toujours bénéficié d’une réputation d’aimant à talentsdans le monde de la finance. Parmi ces profils d’excellence, celui d’Emmanuel Roman a tôt fait de se faire remarquer. Après le rachat de GLG par Man, il se fraye un effet un chemin jusqu’aux échelons les plus élevés du groupe.
Il faut dire qu’Emmanuel Roman n’en est pas à son coup d’essai en 2010. Auparavant, il a déjà travaillé pour Goldman Sachs en tant que codirecteur de la division « Worldwide Global Securities ». Après avoir travaillé pendant 18 ans dans cette entreprise, il fut recruté en tant que vice-président de GLG qu’il a sorti de la tourmente d’un scandale financier. Formé à Paris-Dauphine ainsi qu’à l’Université de Chicago, Emmanuel Roman a en fait suivi de parcours d’excellence des spécialistes en mathématiques financières. Il se distingue néanmoins par son intégrité professionnelle. Cette qualité, il a su la faire reconnaître dans la City à la force de ses faits d’armes, mais aussi grâce à sa discrétion.
La compétence et l’éthique d’Emmanuel Roman lui ont pour ainsi dire ouvert toutes les portes. Après avoir travaillé au sein des plus grandes banques d’affaires et compagnies d’investissement, il est devenu numéro 2 de Man en octobre 2010. Sa nomination à la succession de Peter Clarke aurait pu paraître évidente, mais là encore « Manny » Roman a surpris. Alors que son supérieur hiérarchique subissait la pression des investisseurs en raison d’un cours de l’action en berne depuis un an, sa candidature à la direction du groupe a tout de même remporté la confiance du conseil d’administration. Emmanuel Roman est ainsi parvenu à se distinguer une nouvelle fois parmi de nombreux prétendants ; une consécration pour ce dirigeant de 49 ans à qui tout réussi.