Ces performances de ventes médiocres ne sont certainement pas à mettre sur le compte d’un essoufflement du potentiel de croissance du marché chinois. On ne compte en effet en Chine qu’en moyenne 5 possesseurs de voitures personnelles pour 100 habitants. Il s’agit donc bel et bien d’un marché de premier équipement où de gigantesques perspectives justifient que les constructeurs du monde entier s’y intéressent. Toutefois, la demande y est indéniablement amenée à être limitée.
L’insuffisance des infrastructures routières constitue un premier élément d’explication à ce phénomène. Sa conséquence la plus visible est sans doute l’embouteillage des centres urbains qui est devenu un problème de premier plan pour les pouvoirs publics chinois. Au niveau local en outre, la situation est tellement pressante que certaines des grandes villes les plus touchées par la congestion routière ont, à l’instar de Pékin en 2010, pris des mesures de limitation d’immatriculation des nouveaux véhicules.
Pour remédier à ce problème d’engorgement, le gouvernement central chinois a pris le parti de temporiser la croissance frénétique du marché automobile. Les autorités chinoises ont ainsi décidé de mettre fin aux facilités d’accès aux marchés chinois pour les constructeurs automobiles étrangers. Annoncées en décembre 2011, ces mesures participent d’une volonté de contrôle du développement de l’industrie automobile chinoise, mais aussi d’un désir de favoriser l’industrie nationale. Ces politiques, dissuasives pour les constructeurs étrangers, sont donc l’expression d’une situation potentiellement durable à moyen terme et réellement défavorable à la croissance du marché automobile chinois. Un défi que PSA et l’ensemble des constructeurs étrangers impliqués en Chine doivent aujourd’hui relever.
L’insuffisance des infrastructures routières constitue un premier élément d’explication à ce phénomène. Sa conséquence la plus visible est sans doute l’embouteillage des centres urbains qui est devenu un problème de premier plan pour les pouvoirs publics chinois. Au niveau local en outre, la situation est tellement pressante que certaines des grandes villes les plus touchées par la congestion routière ont, à l’instar de Pékin en 2010, pris des mesures de limitation d’immatriculation des nouveaux véhicules.
Pour remédier à ce problème d’engorgement, le gouvernement central chinois a pris le parti de temporiser la croissance frénétique du marché automobile. Les autorités chinoises ont ainsi décidé de mettre fin aux facilités d’accès aux marchés chinois pour les constructeurs automobiles étrangers. Annoncées en décembre 2011, ces mesures participent d’une volonté de contrôle du développement de l’industrie automobile chinoise, mais aussi d’un désir de favoriser l’industrie nationale. Ces politiques, dissuasives pour les constructeurs étrangers, sont donc l’expression d’une situation potentiellement durable à moyen terme et réellement défavorable à la croissance du marché automobile chinois. Un défi que PSA et l’ensemble des constructeurs étrangers impliqués en Chine doivent aujourd’hui relever.
Ces performances de ventes médiocres ne sont certainement pas à mettre sur le compte d’un essoufflement du potentiel de croissance du marché chinois. On ne compte en effet en Chine qu’en moyenne 5 possesseurs de voitures personnelles pour 100 habitants. Il s’agit donc bel et bien d’un marché de premier équipement où de gigantesques perspectives justifient que les constructeurs du monde entier s’y intéressent. Toutefois, la demande y est indéniablement amenée à être limitée.
L’insuffisance des infrastructures routières constitue un premier élément d’explication à ce phénomène. Sa conséquence la plus visible est sans doute l’embouteillage des centres urbains qui est devenu un problème de premier plan pour les pouvoirs publics chinois. Au niveau local en outre, la situation est tellement pressante que certaines des grandes villes les plus touchées par la congestion routière ont, à l’instar de Pékin en 2010, pris des mesures de limitation d’immatriculation des nouveaux véhicules.
Pour remédier à ce problème d’engorgement, le gouvernement central chinois a pris le parti de temporiser la croissance frénétique du marché automobile. Les autorités chinoises ont ainsi décidé de mettre fin aux facilités d’accès aux marchés chinois pour les constructeurs automobiles étrangers. Annoncées en décembre 2011, ces mesures participent d’une volonté de contrôle du développement de l’industrie automobile chinoise, mais aussi d’un désir de favoriser l’industrie nationale. Ces politiques, dissuasives pour les constructeurs étrangers, sont donc l’expression d’une situation potentiellement durable à moyen terme et réellement défavorable à la croissance du marché automobile chinois. Un défi que PSA et l’ensemble des constructeurs étrangers impliqués en Chine doivent aujourd’hui relever.
L’insuffisance des infrastructures routières constitue un premier élément d’explication à ce phénomène. Sa conséquence la plus visible est sans doute l’embouteillage des centres urbains qui est devenu un problème de premier plan pour les pouvoirs publics chinois. Au niveau local en outre, la situation est tellement pressante que certaines des grandes villes les plus touchées par la congestion routière ont, à l’instar de Pékin en 2010, pris des mesures de limitation d’immatriculation des nouveaux véhicules.
Pour remédier à ce problème d’engorgement, le gouvernement central chinois a pris le parti de temporiser la croissance frénétique du marché automobile. Les autorités chinoises ont ainsi décidé de mettre fin aux facilités d’accès aux marchés chinois pour les constructeurs automobiles étrangers. Annoncées en décembre 2011, ces mesures participent d’une volonté de contrôle du développement de l’industrie automobile chinoise, mais aussi d’un désir de favoriser l’industrie nationale. Ces politiques, dissuasives pour les constructeurs étrangers, sont donc l’expression d’une situation potentiellement durable à moyen terme et réellement défavorable à la croissance du marché automobile chinois. Un défi que PSA et l’ensemble des constructeurs étrangers impliqués en Chine doivent aujourd’hui relever.
En développant une stratégie de marque conjointement avec une entreprise chinoise, PSA met toutes les chances de son côté afin de limiter l’impact sur son activité des ralentissements d’activité prévu pour 2012 sur le marché automobile chinois. Anticipant une contraction temporaire de la demande conditionnée par une carence en infrastructure ainsi que la volonté chinoise de privilégier son industrie nationale, PSA a prévu de s’appuyer sur ses partenaires locaux pour développer des marques conçues en Chine et à destination du marché chinois. Avec ce pari stratégique, le constructeur français devrait être en mesure de proposer des voitures répondant aux mieux aux attentes des chacune des grandes parties prenantes de ce marché.