Dans un communiqué de presse, la CGT annonce l’intention de la direction d'Engie de supprimer 1 900 postes en France entre 2016 et 2018. Un chiffre que la direction dément bien qu’elle ne nie pas son intention de réduire le nombre d’employés du groupe. La suppression d’emplois se fera essentiellement par le biais de l’externalisation et de la délocalisation selon la CGT.
Engie, tout comme EDF et les autres industries électriques et gazières (IEG) ne peut en effet pas licencier aussi facilement que les autres entreprises. Mais selon la CGT, qui dévoile le plan réduction
de postes en détail, plusieurs services sont concernés.
600 emplois seront supprimés, selon la CGT, dans la relation clientèle avec les particuliers et 200 dans la relation clientèle avec les entreprises. 312 postes seront supprimés au siège d’Engie, un nombre qui est réduit du fait de futures embauches, tandis que 200 emplois disparaîtront dans les services informatiques, 80 dans le stockage de gaz et 100 dans le négoce. La branche exploration-production d’hydrocarbures serait également touchée à hauteur de 120 emplois avant une possible cession qu’Engie tente de réaliser.
Toujours selon la CGT, les centres d’appels liés à la relation client avec les particuliers et les entreprises commencent à être délocalisés par Engie au Portugal, au Marco et à l’île Maurice car 85 % de ces services commerciaux sont déjà assurés par des prestataires externes.
Une critique balayée par l’entreprise qui estime que près d’un millier de personnes s’occupent de ces services en interne et que 4 000 recrutements seront réalisés dans l’Hexagone dans le courant de 2017.
Engie, tout comme EDF et les autres industries électriques et gazières (IEG) ne peut en effet pas licencier aussi facilement que les autres entreprises. Mais selon la CGT, qui dévoile le plan réduction
de postes en détail, plusieurs services sont concernés.
600 emplois seront supprimés, selon la CGT, dans la relation clientèle avec les particuliers et 200 dans la relation clientèle avec les entreprises. 312 postes seront supprimés au siège d’Engie, un nombre qui est réduit du fait de futures embauches, tandis que 200 emplois disparaîtront dans les services informatiques, 80 dans le stockage de gaz et 100 dans le négoce. La branche exploration-production d’hydrocarbures serait également touchée à hauteur de 120 emplois avant une possible cession qu’Engie tente de réaliser.
Toujours selon la CGT, les centres d’appels liés à la relation client avec les particuliers et les entreprises commencent à être délocalisés par Engie au Portugal, au Marco et à l’île Maurice car 85 % de ces services commerciaux sont déjà assurés par des prestataires externes.
Une critique balayée par l’entreprise qui estime que près d’un millier de personnes s’occupent de ces services en interne et que 4 000 recrutements seront réalisés dans l’Hexagone dans le courant de 2017.