Les premiers trains à grande vitesse entre Bordeaux et Toulouse rouleront en 2024, tandis que la mise en service de la ligne Bordeaux-Dax devrait être donnée en 2027. Ces deux projets, qui vont créer 327 km de lignes supplémentaires, représentent un coût de 8,3 milliards d'euros. Alain Vidalies, le secrétaire d'État aux transports, estime que « le soutien du gouvernement aux LGV Bordeaux-Dax et Toulouse marque une étape importante pour l'avenir de l'arc Atlantique et du Sud-Ouest ».
Une position partagée par le maire de Bordeaux, Alain Juppé, qui est également candidat pour les primaires de la droite aux prochaines élections présidentielles. Ces lignes à grande vitesse sont « une bonne nouvelle pour Bordeaux et l'Aquitaine », estime-t-il. Toutefois, l'opposition reste forte. Elle provient notamment d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui rappelle les avis négatifs de la Cour des comptes et de la Commission d'enquête publique.
Celle-ci, dont l'avis n'est que consultatif, estime en effet que les aspects environnementaux n'ont pas été suffisamment pris en compte par le gouvernement, et que les alternatives n'avait pas été suffisamment envisagées. De plus, la Commission craint que les zones rurales et les villes moyennes ne souffrent de la trop grande attractivité des métropoles.
Une position partagée par le maire de Bordeaux, Alain Juppé, qui est également candidat pour les primaires de la droite aux prochaines élections présidentielles. Ces lignes à grande vitesse sont « une bonne nouvelle pour Bordeaux et l'Aquitaine », estime-t-il. Toutefois, l'opposition reste forte. Elle provient notamment d'Europe Ecologie-Les Verts (EELV), qui rappelle les avis négatifs de la Cour des comptes et de la Commission d'enquête publique.
Celle-ci, dont l'avis n'est que consultatif, estime en effet que les aspects environnementaux n'ont pas été suffisamment pris en compte par le gouvernement, et que les alternatives n'avait pas été suffisamment envisagées. De plus, la Commission craint que les zones rurales et les villes moyennes ne souffrent de la trop grande attractivité des métropoles.