(c) Shutterstock/EconomieMatin
Le parti a fait de la renégociation de la dette du pays son principal mot d'ordre politique. La chancelière allemande Angela Merkel a fait savoir qu'elle pourrait autoriser une sortie de la Grèce de la zone Euro, ce qui n'est pas le cas de Christian Noyer, le gouverneur de la Banque de France.
Ce dernier a indiqué à Handelsblatt qu'une restructuration de la dette de la Grèce pouvait être possible, dans des conditions qui restent à définir entre le pays et ses créanciers. Le FMI possède ainsi 35,4 milliards d'euros, le FESF (Fonds de solidarité européen) 141,8 milliards, et les pays européens 52,9 milliards via des prêts bilatéraux.
La BCE détient de son côté 27 milliards, une somme que l'institution de Francfort n'a pas l'intention de renégocier en vertu des traités. Libre en revanche aux autres créanciers de faire de nouveaux efforts s'ils le souhaitent, même si la Grèce bénéficie déjà de conditions particulièrement avantageuses, notamment par rapport aux autres États qui ont pu bénéficier de la manne de l'Europe.
Mais voudront-ils réellement tendre de nouveau la main à un pays dont le redressement est toujours repoussé aux calendes ?
Ce dernier a indiqué à Handelsblatt qu'une restructuration de la dette de la Grèce pouvait être possible, dans des conditions qui restent à définir entre le pays et ses créanciers. Le FMI possède ainsi 35,4 milliards d'euros, le FESF (Fonds de solidarité européen) 141,8 milliards, et les pays européens 52,9 milliards via des prêts bilatéraux.
La BCE détient de son côté 27 milliards, une somme que l'institution de Francfort n'a pas l'intention de renégocier en vertu des traités. Libre en revanche aux autres créanciers de faire de nouveaux efforts s'ils le souhaitent, même si la Grèce bénéficie déjà de conditions particulièrement avantageuses, notamment par rapport aux autres États qui ont pu bénéficier de la manne de l'Europe.
Mais voudront-ils réellement tendre de nouveau la main à un pays dont le redressement est toujours repoussé aux calendes ?