Oil & Gas Uk, la plus grosse association professionnelle du secteur pétrolier, a publié ce mercredi 9 septembre 2015 son rapport annuel sur les investissements à court terme dans le secteur. Un rapport qui ne risque pas de faire plaisir puisqu'elle estime qu'ils pourraient être drastiquement réduits d'ici 2017.
Dans deux ans, en effet, les investissements pourraient n'atteindre que la somme de 5,5 milliards d'euros (et encore, c'est une estimation optimiste) soit... 80% de moins que ce qui a été investi en 2014. Car l'an dernier, avec un prix du baril qui a touché des sommets, les groupes ont investi quelques 20,3 milliards d'euros dans les exploitations.
Autre raison de cette baisse et qui pourrait confirmer les craintes d'Oil & Gas Uk : la baisse des coûts de production en mer du Nord. Ils ont chuté de 22% grâce à de nouvelles technologies par rapport à leur niveau le plus élevé ce qui permet aux géants du pétrole de faire d'énormes économies. Fin 2016 le coût d'un baril de pétrole serait de 23 dollars (en termes de prix d'extraction) pour le pétrole de la mer du Nord.
Forcément toutes ces annonces font craindre pour l'emploi alors que le secteur pétrolier compte plus de 375 000 effectifs. Une force de travail déjà réduite de 15% en un an et pour laquelle l'avenir semble sombre. Les licenciements devraient se poursuivre dans les années à venir.
Dans deux ans, en effet, les investissements pourraient n'atteindre que la somme de 5,5 milliards d'euros (et encore, c'est une estimation optimiste) soit... 80% de moins que ce qui a été investi en 2014. Car l'an dernier, avec un prix du baril qui a touché des sommets, les groupes ont investi quelques 20,3 milliards d'euros dans les exploitations.
Autre raison de cette baisse et qui pourrait confirmer les craintes d'Oil & Gas Uk : la baisse des coûts de production en mer du Nord. Ils ont chuté de 22% grâce à de nouvelles technologies par rapport à leur niveau le plus élevé ce qui permet aux géants du pétrole de faire d'énormes économies. Fin 2016 le coût d'un baril de pétrole serait de 23 dollars (en termes de prix d'extraction) pour le pétrole de la mer du Nord.
Forcément toutes ces annonces font craindre pour l'emploi alors que le secteur pétrolier compte plus de 375 000 effectifs. Une force de travail déjà réduite de 15% en un an et pour laquelle l'avenir semble sombre. Les licenciements devraient se poursuivre dans les années à venir.