Le groupe PSA (Peugeot, Citroën et DS) espère remettre Opel et son équivalent britannique Vauxhall sur les rails de la rentabilité à l'horizon 2020. Un pari difficile pour le constructeur français, les activités européennes de l'américain General Motors étant déficitaires depuis 16 ans : sur la période, Opel et Vauxhall ont représenté des pertes de 15 milliards de dollars ! On comprend d'ailleurs mieux, à la lumière de chiffre, la volonté du groupe de Detroit de vendre les deux marques.
PSA a bien l'intention de faire mieux que GM. Dans le communiqué, on peut lire : « En tirant profit du partenariat fructueux conclu avec GM, PSA attend qu'Opel/Vauxhall atteigne une marge opérationnelle courante de 2% d'ici à 2020 et 6% d'ici à 2026, et génère un free cash-flow opérationnel positif d'ici à 2020 ». Un retour à la rentabilité qui sera facilité par prise en charge des retraites par GM. PSA reprend non seulement les deux marques, mais également six usines de montage et cinq usines de production de pièces, ce qui représente 40 000 salariés.
Ford et Vauxhall vont apporter à PSA 1,2 millions de véhicules neufs vendus chaque année. C'est un tiers du volume des ventes du groupe français (3,15 millions l'an dernier). L'opération de rapprochement devra être achevée d'ici la fin de cette année. Une fois achevée, la transaction fera du groupe PSA le dauphin de Volkswagen en Europe.
PSA a bien l'intention de faire mieux que GM. Dans le communiqué, on peut lire : « En tirant profit du partenariat fructueux conclu avec GM, PSA attend qu'Opel/Vauxhall atteigne une marge opérationnelle courante de 2% d'ici à 2020 et 6% d'ici à 2026, et génère un free cash-flow opérationnel positif d'ici à 2020 ». Un retour à la rentabilité qui sera facilité par prise en charge des retraites par GM. PSA reprend non seulement les deux marques, mais également six usines de montage et cinq usines de production de pièces, ce qui représente 40 000 salariés.
Ford et Vauxhall vont apporter à PSA 1,2 millions de véhicules neufs vendus chaque année. C'est un tiers du volume des ventes du groupe français (3,15 millions l'an dernier). L'opération de rapprochement devra être achevée d'ici la fin de cette année. Une fois achevée, la transaction fera du groupe PSA le dauphin de Volkswagen en Europe.