« Chaque immeuble que nous construisons est un dialogue entre l’art et l’architecture ». Ces mots peuvent surprendre de la part d’un entrepreneur de la construction, mais ils sont pourtant à mettre au crédit de Marc Villand, président d’Interconstruction. Il est vrai que cette PME a, entre autres, bâti sa réputation sur une spécificité : chaque immeuble livré est ornementé d’une œuvre d’art réalisée par un artiste connu ou dont le talent est prometteur. Interconstruction revendique en effet une approche esthétique de la construction : « un bâtiment intelligent doit d’abord être beau. Il ne faut surtout pas oublier l’esthétique », martèle volontiers Marc Villand.
Mais si l’agrément visuel est une considération importante en matière d’urbanisme contemporain, Interconstruction met également en avant son attachement aux aspects techniques, règlementaires et pratiques, en collant aux usages qui sont et seront faits de l’habitat. « L’immeuble du XXIe siècle doit être un immeuble flexible, doté de services, et réversible. Il doit être un lieu d’habitation et en même temps un lieu de vie », précise le président d’Interconstruction, qui ajoute par ailleurs qu’il s’agira « d’un logement à la fois plus numérique et plus authentique ». C’est sur cette approche globale et évolutive de l’habitat, construit pour durer et s’adapter aux évolutions sociétales et aux progrès techniques que cette grosse PME francilienne entend faire la différence. « En tant que spécialistes des zones urbaines denses et des cœurs de ville, notre principale zone d’intervention est la première couronne », explique le président, qui ajoute au passage un détail d’importance pour cerner la proposition de valeur d’Interconstruction : la focalisation sur certaines zones urbaines bien précises.
Les grands groupes de promotion immobilière sont habituellement friands de friches industrielles et de vastes zones d’activités délaissées, de Boulogne Billancourt à la Défense, en passant par la futures Zac des Batignolles où se construit actuellement le grand TGI de Paris. Ce sont de grands espaces qui permettent de déployer les chantiers massifs avec une certaine aisance. Rien de tout cela lorsqu’un immeuble de centre-ville est reconstruit ; ces zones sont les plus délicates à traiter compte tenu des contraintes d’environnement dans toutes les dimensions, du sous-sol au voisinage. Les bâtiments eux-mêmes sont bien souvent complexes techniquement : il n’est pas évident de combiner, dans des proportions et sur des surfaces parfois réduites, des aménagements d’espaces de commerces, de bureaux et d’habitations, le tout en respectant les derniers standards en vigueur en matière de conforts et de consommation d’énergie, à plus forte raison dans les périmètres de protection des monuments historiques.
Pas de quoi décourager les équipes de Marc Villand, organisées de façon à répondre à ces défis, qu’ils soient techniques ou environnementaux : « nous mettons toujours nos meilleurs éléments sur les projets, […] avec le recouvrement de deux équipes au minimum, de telle sorte à combiner l’absence de rupture de charge et la compréhension du projet global », détaille le président. Illustration de cet engagement : Interconstruction s’est vu décerner le « Prix de la conduite responsable des opérations » par la Fédération des Promoteurs Immobiliers Ile de France (FPI), pour son projet « Regards en Seine » à Saint Cloud. Le projet était complexe à plusieurs niveaux, sur un terrain à très fort dénivelé. Approche technique inédite, soins apportés aux détails (dont le déménagement pierre par pierre d’un monument historique), maitrise du calendrier… Si Interconstruction a pu mener à bien ce chantier auxquels nombre de promoteurs ont finalement renoncé, c’est autant grâce à ses capacités d’innovation qu’au professionnalisme de ses équipes.
En l’espace d’une décennie, depuis que Marc Villand a pris la tête de l’entreprise, celles-ci ont d’ailleurs doublé pour atteindre un effectif d’une cinquantaine de personnes. Une envergure nécessaire mais une taille humaine préservée et assumée pour conserver à l’entreprise son agilité, aussi bien dans la conception que dans la conduite des projets. Côté recrutement, l’entreprise revendique également sa spécificité : « Un bon collaborateur, dans l’immobilier, est un collaborateur dynamique, travailleur, et qui se distingue particulièrement par son éthique. Ce dernier critère est important notre métier se situe au confluent de la politique, de la finance, du droit, de l’architecture… » explique Marc Villand. Formé en interne, le nouveau venu se voit inculquer « l’esprit maison », reposant sur ce sens de l’éthique, la diversité et la confiance. Cette dernière est fondamentale vis-à-vis d’équipes qui interviendront face à la multitude d’acteurs rencontrée dans la promotion immobilière : riverains, fonctionnaires, architectes, bureaux d’études, aménageurs, avocats. « Nous voulons nous développer en préservant notre exigence de qualité, qui repose en grande partie sur le recrutement et la formation de collaborateurs qui portent les valeurs du groupe », explique Marc Villand.
Les exigences internes d’Interconstruction portent leurs fruits : avec un chiffre d’affaire multiplié par plus de cinq en l’espace d’une décennie, l’entreprise réalise aujourd’hui entre 500 et 700 logements par an. Et compte tenu de la pression foncière en Ile-de-France et de la raréfaction des terrains disponibles, les acteurs de la reconstruction dans les centres-villes, comme Interconstruction, continueront certainement de trouver matière à projets dans les années à venir.
Mais si l’agrément visuel est une considération importante en matière d’urbanisme contemporain, Interconstruction met également en avant son attachement aux aspects techniques, règlementaires et pratiques, en collant aux usages qui sont et seront faits de l’habitat. « L’immeuble du XXIe siècle doit être un immeuble flexible, doté de services, et réversible. Il doit être un lieu d’habitation et en même temps un lieu de vie », précise le président d’Interconstruction, qui ajoute par ailleurs qu’il s’agira « d’un logement à la fois plus numérique et plus authentique ». C’est sur cette approche globale et évolutive de l’habitat, construit pour durer et s’adapter aux évolutions sociétales et aux progrès techniques que cette grosse PME francilienne entend faire la différence. « En tant que spécialistes des zones urbaines denses et des cœurs de ville, notre principale zone d’intervention est la première couronne », explique le président, qui ajoute au passage un détail d’importance pour cerner la proposition de valeur d’Interconstruction : la focalisation sur certaines zones urbaines bien précises.
Les grands groupes de promotion immobilière sont habituellement friands de friches industrielles et de vastes zones d’activités délaissées, de Boulogne Billancourt à la Défense, en passant par la futures Zac des Batignolles où se construit actuellement le grand TGI de Paris. Ce sont de grands espaces qui permettent de déployer les chantiers massifs avec une certaine aisance. Rien de tout cela lorsqu’un immeuble de centre-ville est reconstruit ; ces zones sont les plus délicates à traiter compte tenu des contraintes d’environnement dans toutes les dimensions, du sous-sol au voisinage. Les bâtiments eux-mêmes sont bien souvent complexes techniquement : il n’est pas évident de combiner, dans des proportions et sur des surfaces parfois réduites, des aménagements d’espaces de commerces, de bureaux et d’habitations, le tout en respectant les derniers standards en vigueur en matière de conforts et de consommation d’énergie, à plus forte raison dans les périmètres de protection des monuments historiques.
Pas de quoi décourager les équipes de Marc Villand, organisées de façon à répondre à ces défis, qu’ils soient techniques ou environnementaux : « nous mettons toujours nos meilleurs éléments sur les projets, […] avec le recouvrement de deux équipes au minimum, de telle sorte à combiner l’absence de rupture de charge et la compréhension du projet global », détaille le président. Illustration de cet engagement : Interconstruction s’est vu décerner le « Prix de la conduite responsable des opérations » par la Fédération des Promoteurs Immobiliers Ile de France (FPI), pour son projet « Regards en Seine » à Saint Cloud. Le projet était complexe à plusieurs niveaux, sur un terrain à très fort dénivelé. Approche technique inédite, soins apportés aux détails (dont le déménagement pierre par pierre d’un monument historique), maitrise du calendrier… Si Interconstruction a pu mener à bien ce chantier auxquels nombre de promoteurs ont finalement renoncé, c’est autant grâce à ses capacités d’innovation qu’au professionnalisme de ses équipes.
En l’espace d’une décennie, depuis que Marc Villand a pris la tête de l’entreprise, celles-ci ont d’ailleurs doublé pour atteindre un effectif d’une cinquantaine de personnes. Une envergure nécessaire mais une taille humaine préservée et assumée pour conserver à l’entreprise son agilité, aussi bien dans la conception que dans la conduite des projets. Côté recrutement, l’entreprise revendique également sa spécificité : « Un bon collaborateur, dans l’immobilier, est un collaborateur dynamique, travailleur, et qui se distingue particulièrement par son éthique. Ce dernier critère est important notre métier se situe au confluent de la politique, de la finance, du droit, de l’architecture… » explique Marc Villand. Formé en interne, le nouveau venu se voit inculquer « l’esprit maison », reposant sur ce sens de l’éthique, la diversité et la confiance. Cette dernière est fondamentale vis-à-vis d’équipes qui interviendront face à la multitude d’acteurs rencontrée dans la promotion immobilière : riverains, fonctionnaires, architectes, bureaux d’études, aménageurs, avocats. « Nous voulons nous développer en préservant notre exigence de qualité, qui repose en grande partie sur le recrutement et la formation de collaborateurs qui portent les valeurs du groupe », explique Marc Villand.
Les exigences internes d’Interconstruction portent leurs fruits : avec un chiffre d’affaire multiplié par plus de cinq en l’espace d’une décennie, l’entreprise réalise aujourd’hui entre 500 et 700 logements par an. Et compte tenu de la pression foncière en Ile-de-France et de la raréfaction des terrains disponibles, les acteurs de la reconstruction dans les centres-villes, comme Interconstruction, continueront certainement de trouver matière à projets dans les années à venir.