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« Si Fiat a eu la chance de démontrer ce qu’elle vaut, nous le devons à l’exemple d’Umberto Agnelli en tant que président, qu’il a été pendant un bref laps de temps mais pendant un des moment les plus difficiles de son histoire ». C’est ainsi que Sergio Marchionne, actuell Directeur général du nouveau groupe à peine fondé Fiat Chrysler Automobiles (FCA) a voulu rendre hommage à l’ancien président du groupe de Turin.
Marchionne a également profité du moment pour préciser et réaffirmer les objectifs de FCA qu’il estime « parfaitement faisables ». « Alfa est la partie la plus difficile du plan, à cause de la prévision d’expansion globale de la marque » a-t-il ajouté.
Mais lors de la cérémonie il n’était pas question de Fiat mais bien d’Umberto Agnelli c’est pourquoi étaient présents, en plus de la famille, l’ancien premier ministre Gianni Letta, Piero Fassino, maire de Turin, ou encore l’ambassadeur du Japon, pays avec lequel Umberto Agnelli avait entamé une collaboration économique pour le compte de l’Italie en fondant l’association d’amitié Italie Japon.
Andrea Agnelli a, fils d’Umberto, a voulu mettre l’accent sur les liens qui unissent la famille Agnelli à Fiat : « Umberto a toujours estimé que tout ce que la famille a elle le doit à Fiat, donc nous devons toujours être prêts pour Fiat. C’est le grand respect que nous devons avoir vers qui nous a précédé, mais également avec la conscience que ce qui nous a été donné devra être passé aux générations futures ».
Gianni Letta, ancien premier ministre, a de son côté voulu intervenir sur le parcours politique d’Umberto Agnelli, entré en politique en 1976. « Il était fermement convaincu que le destin de l’Italie se jouait dans l’intégration européennes et que l’Europe avait besoin d’une âme ». Au lendemain des Elections européennes qui ont vu, en Italie, triompher la gauche, il a tenu à rappeler qu’en 1978 « il fit un très beau discours entièrement centré sur les avantages d’une monnaie unique ».
Marchionne a également profité du moment pour préciser et réaffirmer les objectifs de FCA qu’il estime « parfaitement faisables ». « Alfa est la partie la plus difficile du plan, à cause de la prévision d’expansion globale de la marque » a-t-il ajouté.
Mais lors de la cérémonie il n’était pas question de Fiat mais bien d’Umberto Agnelli c’est pourquoi étaient présents, en plus de la famille, l’ancien premier ministre Gianni Letta, Piero Fassino, maire de Turin, ou encore l’ambassadeur du Japon, pays avec lequel Umberto Agnelli avait entamé une collaboration économique pour le compte de l’Italie en fondant l’association d’amitié Italie Japon.
Andrea Agnelli a, fils d’Umberto, a voulu mettre l’accent sur les liens qui unissent la famille Agnelli à Fiat : « Umberto a toujours estimé que tout ce que la famille a elle le doit à Fiat, donc nous devons toujours être prêts pour Fiat. C’est le grand respect que nous devons avoir vers qui nous a précédé, mais également avec la conscience que ce qui nous a été donné devra être passé aux générations futures ».
Gianni Letta, ancien premier ministre, a de son côté voulu intervenir sur le parcours politique d’Umberto Agnelli, entré en politique en 1976. « Il était fermement convaincu que le destin de l’Italie se jouait dans l’intégration européennes et que l’Europe avait besoin d’une âme ». Au lendemain des Elections européennes qui ont vu, en Italie, triompher la gauche, il a tenu à rappeler qu’en 1978 « il fit un très beau discours entièrement centré sur les avantages d’une monnaie unique ».