S'intégrer rapidement
100 jours, c'est le temps qu'il faut à un nouveau dirigeant pour faire connaissance avec ses collègues de travail et asseoir son autorité. Ainsi, les 3 premiers mois d'un nouveau dirigeant seront déterminants, car ils permettront de déceler les choses à améliorer, de faire connaissance avec les différents acteurs, de se familiariser aux modes de communication en interne, au processus et à la culture de l'entreprise. Ce laps de temps sera donc consacré à une intégration qui devra, dans un premier temps, se faire par l'écoute, car c'est le meilleur moyen de mettre le doigt sur les problèmes et de repérer les changements qu'il faudra apporter. Prenons l’exemple de ce manager d'une grande société d'assurance qui a eu l'idée de mettre en place un petit déjeuner croissant une fois par semaine. Ce fut pour lui l'occasion de tendre l'oreille durant les discussions et de recueillir quantité d'idées et de solutions, pour préparer le terrain, au vu de ses actions futures.
Préparer le terrain
S'intégrer rapidement permettra au nouveau dirigeant de passer d'autant plus vite à l'acte, car il pourra par la même occasion, préparer le terrain. En effet, modifier des processus, des habitudes de travail ou autres, entrainera inéluctablement le mécontentement de certains, et notamment des chefs de service. Il ne s’agit donc pas seulement de connaitre ses collègues, mais aussi, et surtout de les avoir comme alliés. Tisser un lien social avec ses équipes et collaborateurs est crucial au moment de l'intégration, car c'est dans la proximité et l'écoute que le dirigeant se prépare un terrain praticable. Le volontarisme de ce dernier sera bien perçu par les autres employés et ils accepteront plus facilement les décisions. Ainsi, c'est dans des relations d'amabilité et d'intéressement du manager qu’il amadouera même les fortes têtes. Cela lui permettra d’apporter des changements significatifs durant ses 100 premiers jours et d’accélérer le changement par la suite.
Après les 100 premiers jours
Après s’être intégré et avoir préparé le terrain, le nouveau dirigeant doit passer à l’acte. Et là, il dispose également de 100 jours pour apporter des améliorations, qui cette fois se feront en profondeur. Les efforts d’intégration seront ici récompensés, car il ne serait pas surprenant que les redoutés fortes têtes, mettent la main à la pâte pour appuyer le nouveau dirigeant dans ses démarches. Les chefs de service, quant à eux, seront également plus compréhensifs en cas de restructuration ou de modification des méthodes de communication ou de travail. Ainsi, les actions entreprises par le nouveau dirigeant seront facilitées par les acteurs de l’entreprise, ces derniers pouvant même devenir les moteurs du changement. Faire ses preuves ne consiste donc pas à se concentrer uniquement sur les chiffres, en restant dans son bureau et en donnant des ordres, mais à convaincre ses subordonnées de suivre la marche. La productivité qu’attendent les supérieurs s’ensuivra automatiquement.
100 jours, c'est le temps qu'il faut à un nouveau dirigeant pour faire connaissance avec ses collègues de travail et asseoir son autorité. Ainsi, les 3 premiers mois d'un nouveau dirigeant seront déterminants, car ils permettront de déceler les choses à améliorer, de faire connaissance avec les différents acteurs, de se familiariser aux modes de communication en interne, au processus et à la culture de l'entreprise. Ce laps de temps sera donc consacré à une intégration qui devra, dans un premier temps, se faire par l'écoute, car c'est le meilleur moyen de mettre le doigt sur les problèmes et de repérer les changements qu'il faudra apporter. Prenons l’exemple de ce manager d'une grande société d'assurance qui a eu l'idée de mettre en place un petit déjeuner croissant une fois par semaine. Ce fut pour lui l'occasion de tendre l'oreille durant les discussions et de recueillir quantité d'idées et de solutions, pour préparer le terrain, au vu de ses actions futures.
Préparer le terrain
S'intégrer rapidement permettra au nouveau dirigeant de passer d'autant plus vite à l'acte, car il pourra par la même occasion, préparer le terrain. En effet, modifier des processus, des habitudes de travail ou autres, entrainera inéluctablement le mécontentement de certains, et notamment des chefs de service. Il ne s’agit donc pas seulement de connaitre ses collègues, mais aussi, et surtout de les avoir comme alliés. Tisser un lien social avec ses équipes et collaborateurs est crucial au moment de l'intégration, car c'est dans la proximité et l'écoute que le dirigeant se prépare un terrain praticable. Le volontarisme de ce dernier sera bien perçu par les autres employés et ils accepteront plus facilement les décisions. Ainsi, c'est dans des relations d'amabilité et d'intéressement du manager qu’il amadouera même les fortes têtes. Cela lui permettra d’apporter des changements significatifs durant ses 100 premiers jours et d’accélérer le changement par la suite.
Après les 100 premiers jours
Après s’être intégré et avoir préparé le terrain, le nouveau dirigeant doit passer à l’acte. Et là, il dispose également de 100 jours pour apporter des améliorations, qui cette fois se feront en profondeur. Les efforts d’intégration seront ici récompensés, car il ne serait pas surprenant que les redoutés fortes têtes, mettent la main à la pâte pour appuyer le nouveau dirigeant dans ses démarches. Les chefs de service, quant à eux, seront également plus compréhensifs en cas de restructuration ou de modification des méthodes de communication ou de travail. Ainsi, les actions entreprises par le nouveau dirigeant seront facilitées par les acteurs de l’entreprise, ces derniers pouvant même devenir les moteurs du changement. Faire ses preuves ne consiste donc pas à se concentrer uniquement sur les chiffres, en restant dans son bureau et en donnant des ordres, mais à convaincre ses subordonnées de suivre la marche. La productivité qu’attendent les supérieurs s’ensuivra automatiquement.