Le Figaro avait déjà dévoilé que les discussions à Bercy allaient de bon train et que le gouvernement penchait sur une solution pour que les PME payent moins d'impôts. Selon le journal, le gouvernement penchait pour une baisse d'un peu plus de 5 points, faisant passer l'IS pour les PME de 33,3 % à 28 %. C'est finalement bien ce qui a été annoncé par le Premier ministre à l'Express.
La mesure, qui devrait alléger un peu les PME françaises, devrait faire chuter l'impôt sur les sociétés à 28 % "sur une partie de leurs bénéfices" précise Manuel Valls, sans plus de détails. Elle entrera en vigueur dès 2017 via le projet de Budget en discussion au gouvernement et les PME devraient en voir les bénéfices en 2018.
Le niveau de 28 % d'IS est plus proche de la moyenne européenne mais pourrait ne pas suffire au gouvernement pour obtenir les votes des PME. François Asselin, président de la CGPME, réitérait lundi 22 août 2016 sa demande de baisse d'impôts dans un entretien accordé au journal Les Echos. Il espérait que le niveau de l'IS chute à 25 % ce qui, semble-t-il, n'a pas été accordé par Bercy.
Mais le gouvernement a d'autres atouts dans sa manche : baisse des cotisations sociales, relèvement du crédit d'impôts, aides à l'investissement... au total, 5 milliards d'euros devraient être mobilisés par le gouvernement en faveur des entreprises à quelques mois des élections.
La mesure, qui devrait alléger un peu les PME françaises, devrait faire chuter l'impôt sur les sociétés à 28 % "sur une partie de leurs bénéfices" précise Manuel Valls, sans plus de détails. Elle entrera en vigueur dès 2017 via le projet de Budget en discussion au gouvernement et les PME devraient en voir les bénéfices en 2018.
Le niveau de 28 % d'IS est plus proche de la moyenne européenne mais pourrait ne pas suffire au gouvernement pour obtenir les votes des PME. François Asselin, président de la CGPME, réitérait lundi 22 août 2016 sa demande de baisse d'impôts dans un entretien accordé au journal Les Echos. Il espérait que le niveau de l'IS chute à 25 % ce qui, semble-t-il, n'a pas été accordé par Bercy.
Mais le gouvernement a d'autres atouts dans sa manche : baisse des cotisations sociales, relèvement du crédit d'impôts, aides à l'investissement... au total, 5 milliards d'euros devraient être mobilisés par le gouvernement en faveur des entreprises à quelques mois des élections.