L’industrie représente un quart des projets
Les investissements étrangers ont le vent en poupe dans l’Hexagone depuis le début d’année 2018. Tout d’abord, une annonce en janvier de 3,5 milliards d’euros d’investissements et plus de 2.000 emplois créés dans les cinq ans par plusieurs sociétés étrangères. Puis celle de Disney, en février, qui va injecter 2 milliards d’euros dans son parc d’attractions de Marne-la-Vallée.
Ces chiffres font montre de la bonne dynamique dévoilée par le bilan 2017 des investissements étrangers en France, publié le 3 avril par Business France, l’agence publique chargée de promouvoir l’attractivité française. Selon ce décompte, les investisseurs étrangers ont mis de l’argent dans 1.298 projets en 2017, soit le niveau le plus élevé depuis dix ans. Par rapport à 2016, la progression atteint 16 %.
Ces investissements ont permis de créer ou de maintenir 33.489 emplois, contre 30.108 en 2016, selon Business France. L’industrie tire son épingle du jeu, avec 26 % des projets étrangers (+ 23 % par rapport à 2016). Une statistique à rapprocher d’un autre facteur d’attractivité tricolore, l’innovation, de plus en plus incontournable à l’heure où se déploie l’industrie 4.0, via l’usine du futur. Au total, 125 projets ont ainsi relevé du champ de la recherche et développement et de l’ingénierie, soit 10 % des investissements étrangers (+ 9 %).
Ces chiffres font montre de la bonne dynamique dévoilée par le bilan 2017 des investissements étrangers en France, publié le 3 avril par Business France, l’agence publique chargée de promouvoir l’attractivité française. Selon ce décompte, les investisseurs étrangers ont mis de l’argent dans 1.298 projets en 2017, soit le niveau le plus élevé depuis dix ans. Par rapport à 2016, la progression atteint 16 %.
Ces investissements ont permis de créer ou de maintenir 33.489 emplois, contre 30.108 en 2016, selon Business France. L’industrie tire son épingle du jeu, avec 26 % des projets étrangers (+ 23 % par rapport à 2016). Une statistique à rapprocher d’un autre facteur d’attractivité tricolore, l’innovation, de plus en plus incontournable à l’heure où se déploie l’industrie 4.0, via l’usine du futur. Au total, 125 projets ont ainsi relevé du champ de la recherche et développement et de l’ingénierie, soit 10 % des investissements étrangers (+ 9 %).
Les Etats-Unis en tête des pays investisseurs
Sur fond de tensions économiques avec Donald Trump, les États-Unis ont retrouvé en 2017 la première place des pays investisseurs dans l’Hexagone, à hauteur de 18 % – même si les pays européens, pris dans leur ensemble, restent majoritaires avec 60 % des décisions d’investissements.
Il semble qu’il y ait eu un « effet Macron » et, ce, dès la deuxième moitié de l’année. Mais la reprise des investissements étrangers en France s’était amorcée dès 2015. Pour les investisseurs étrangers, pas question pour autant de signer un chèque en blanc à l’actuel président français.
Il semble qu’il y ait eu un « effet Macron » et, ce, dès la deuxième moitié de l’année. Mais la reprise des investissements étrangers en France s’était amorcée dès 2015. Pour les investisseurs étrangers, pas question pour autant de signer un chèque en blanc à l’actuel président français.