Alexis Tsipras, le Premier ministre grec, a déclaré que son pays allait revenir se financer sur les marchés internationaux l’année prochaine. Cette échéance est le signe que la Grèce va donc mieux et que ses finances publiques sont à même d’emprunter de nouveau sur les marchés de capitaux à long et moyen terme.
En 2014, suite au redémarrage de la croissance grecque qui n’avait pas duré longtemps, le pays avait pu par deux fois emprunter de l’argent sur les marchés de moyen terme. Mais cette éclaircie s’est rapidement éteinte et depuis, Athènes continue de s’adresser à ses créanciers pour se financer. En juillet dernier, la Grèce avait d’ailleurs signé un troisième prêt auprès du FMI et de l’UE, et elle attend le déblocage d’une nouvelle tranche de ces fonds.
Les ministres des finances de la zone euro se retrouveront le 24 mai pour donner leur feu vert à ce nouveau versement. Suite au vote de réformes difficiles sur la retraite et l’impôt sur le revenu, Athènes devait non seulement recevoir ces fonds, mais également obtenir un allègement supplémentaire de sa dette — du moins, c’est que les argentiers du pays espèrent, car c’est ce qui ouvrirait de nouveau à la Grèce les portes des marchés de capitaux.
En 2014, suite au redémarrage de la croissance grecque qui n’avait pas duré longtemps, le pays avait pu par deux fois emprunter de l’argent sur les marchés de moyen terme. Mais cette éclaircie s’est rapidement éteinte et depuis, Athènes continue de s’adresser à ses créanciers pour se financer. En juillet dernier, la Grèce avait d’ailleurs signé un troisième prêt auprès du FMI et de l’UE, et elle attend le déblocage d’une nouvelle tranche de ces fonds.
Les ministres des finances de la zone euro se retrouveront le 24 mai pour donner leur feu vert à ce nouveau versement. Suite au vote de réformes difficiles sur la retraite et l’impôt sur le revenu, Athènes devait non seulement recevoir ces fonds, mais également obtenir un allègement supplémentaire de sa dette — du moins, c’est que les argentiers du pays espèrent, car c’est ce qui ouvrirait de nouveau à la Grèce les portes des marchés de capitaux.