Et cette fourchette pourrait encore augmenter, puisque les décrues se poursuivent, et elles pourraient provoquer de nouveaux dégâts… ou en faire surgir d’autres. La catastrophe naturelle a d’ores et déjà un coût plus élevé que les intempéries de l’an dernier qui avaient saisi les Alpes-Maritimes. En octobre dernier, le coût de cette catastrophe avait été de 600 millions d’euros, pour un total de 65 000 sinistrés.
Les inondations de ces derniers jours ont déjà fait l’objet de 77 000 déclarations de sinistre, mais le résultat total devrait dépasser les 150 000 sinistrés. La fourchette temporaire établie par l’AFA est raccord avec les prévisions de la Caisse Centrale de Réassurance, le réassureur public.
Pour faire face aux cas les plus urgents, les sociétés d’assurances ont mis les bouchées doubles. En plus d’une présence accrue sur les lieux de la catastrophe naturelle, les assureurs ont mis en place des mécanismes plus souples pour attester des dommages. Ils pourront aussi attribuer plus facilement des avances sur indemnisation selon les besoins ; et les dégâts inférieurs à moins de 3 000 euros seront indemnisés dans les deux mois (contre trois mois normalement).
Les inondations de ces derniers jours ont déjà fait l’objet de 77 000 déclarations de sinistre, mais le résultat total devrait dépasser les 150 000 sinistrés. La fourchette temporaire établie par l’AFA est raccord avec les prévisions de la Caisse Centrale de Réassurance, le réassureur public.
Pour faire face aux cas les plus urgents, les sociétés d’assurances ont mis les bouchées doubles. En plus d’une présence accrue sur les lieux de la catastrophe naturelle, les assureurs ont mis en place des mécanismes plus souples pour attester des dommages. Ils pourront aussi attribuer plus facilement des avances sur indemnisation selon les besoins ; et les dégâts inférieurs à moins de 3 000 euros seront indemnisés dans les deux mois (contre trois mois normalement).