Grâce à cette performance de la machine économique française, il y avait en France, fin septembre, 3,74 millions de chômeurs de la catégorie A. Les résultats sont moins percutants si on additionne les chiffres des catégories B et C (les personnes qui ont exercé une activité partielle) : les chômeurs de ces catégories ont progressé de 28 300 en septembre. Mais tout de même, le chômage n'en continue pas moins de baisser pour l'ensemble des catégories, de 39 000 personnes en France (38 000 en métropole). En tout, le pays comptait 5,7 millions de chômeurs ayant travaillé pas du tout ou un peu.
Le ministère du Travail a salué cette performance, tout en rappelant de ne pas trop s'attarder sur les chiffres mensuels, mais de regarder plutôt sur le court et le moyen terme. « Nous nous réjouissons naturellement que ces dernières données viennent consolider une tendance de fond favorable. Il s'agit du troisième trimestre consécutif de baisse, ce qui n'avait pas été constaté depuis début 2008 », écrit ainsi Myriam El Khomri, la ministre du Travail.
Cette forte baisse, et la tendance générale observée ces derniers trimestres pourraient bien servir de déclencheur à une candidature de François Hollande pour un second mandat. Le président de la République a en effet lié son destin à une baisse du chômage, or nous sommes en plein dedans. Faut-il voir dans ces chiffres le tremplin qu'attendait le chef de l'État ?
Le ministère du Travail a salué cette performance, tout en rappelant de ne pas trop s'attarder sur les chiffres mensuels, mais de regarder plutôt sur le court et le moyen terme. « Nous nous réjouissons naturellement que ces dernières données viennent consolider une tendance de fond favorable. Il s'agit du troisième trimestre consécutif de baisse, ce qui n'avait pas été constaté depuis début 2008 », écrit ainsi Myriam El Khomri, la ministre du Travail.
Cette forte baisse, et la tendance générale observée ces derniers trimestres pourraient bien servir de déclencheur à une candidature de François Hollande pour un second mandat. Le président de la République a en effet lié son destin à une baisse du chômage, or nous sommes en plein dedans. Faut-il voir dans ces chiffres le tremplin qu'attendait le chef de l'État ?