Mais les Républicains ont gagné un point après la publication, de la part du Congressional Budget Office (Cbo) organisme indépendant du Congrès, des résultats de son étude. La hausse du salaire minimum entraînerait une forte destruction d’emplois, environ 500 000 selon l’étude.
Les Républicains ont donc sauté sur l’occasion pour critiquer le projet de loi que Barack Obama défend fermement. Les Démocrates, en particulier le conseil des économistes de la Maison Blanche, a rétorqué que ces analyses, négatives, ne sont pas représentatives du consensus issu de la plupart des études qu’ils ont menées. Ces dernières montreraient un impact quasi-nul de la hausse du salaire minimum sur la quantité d’emplois.
Pourtant, et même si l’étude du Cbo met également en avant une hausse du revenu moyen des ménages de 3% et la sortie de la pauvreté pour près de 900 000 personnes, le risque de destruction d’emplois risque de jouer en défaveur de cette réforme. Pour les républicains le rapport « confirme ce que nous savons depuis longtemps. Avec le chômage en tête de liste de nos inquiétudes, nous devrions concentrer nos efforts dans la création d’emplois, non dans leur destruction. »
Mais Barack Obama reste convaincu que la hausse du salaire minimum est une solution, et il peut compter sur son parti pour le soutenir, ainsi que sur les syndicats américains.
Les Républicains ont donc sauté sur l’occasion pour critiquer le projet de loi que Barack Obama défend fermement. Les Démocrates, en particulier le conseil des économistes de la Maison Blanche, a rétorqué que ces analyses, négatives, ne sont pas représentatives du consensus issu de la plupart des études qu’ils ont menées. Ces dernières montreraient un impact quasi-nul de la hausse du salaire minimum sur la quantité d’emplois.
Pourtant, et même si l’étude du Cbo met également en avant une hausse du revenu moyen des ménages de 3% et la sortie de la pauvreté pour près de 900 000 personnes, le risque de destruction d’emplois risque de jouer en défaveur de cette réforme. Pour les républicains le rapport « confirme ce que nous savons depuis longtemps. Avec le chômage en tête de liste de nos inquiétudes, nous devrions concentrer nos efforts dans la création d’emplois, non dans leur destruction. »
Mais Barack Obama reste convaincu que la hausse du salaire minimum est une solution, et il peut compter sur son parti pour le soutenir, ainsi que sur les syndicats américains.