Pourtant, en avril 2017 pendant l'assemblée générale de l'avionneur, Tom Enders assurait qu'il était prêt à rempiler pour un troisième mandat à la tête de l'entreprise. Mais il y a les affaires qui s'empilent et qui ne font pas bon ménage avec l'image de marque d'Airbus. Deux enquêtes le visent en Allemagne et en Autriche concernant la vente d'avions de combat Eurofighter ; l'affaire date de 2003, à une époque où il dirigeait la branche Défense du constructeur aérien.
Il y a également cette enquête du Parquet national financier français et de son homologue britannique touchant à des irrégularités sur des transactions, en l'occurrence des contrats conclus avec le Kazakhstan sous l'égide Nicolas Sarkozy. Le Figaro a donc laissé entendre que Tom Enders ne chercherait pas à briguer de nouveau mandat à la fin de l'actuel, qui achève en avril 2019. Le numéro 2 du groupe, Fabrice Brégier aussi serait sur le départ (son mandat se termine lui l'année prochaine).
Le patron d'Airbus a tenu à rassurer : il ne compte pas partir avant la fin prévue de son second mandat. « La décision sur mon avenir en tant que président exécutif d’Airbus n’est prise ni par la presse française ou le gouvernement français, ni par aucun gouvernement. Elle est prise soit par le conseil d’administration, soit par moi-même et idéalement par un consensus entre le conseil et moi-même ». Il précise travailler dans le cadre de son mandat, jusqu'en avril 2019. Sans dire pour autant s'il cherchera à en briguer un troisième.
Il y a également cette enquête du Parquet national financier français et de son homologue britannique touchant à des irrégularités sur des transactions, en l'occurrence des contrats conclus avec le Kazakhstan sous l'égide Nicolas Sarkozy. Le Figaro a donc laissé entendre que Tom Enders ne chercherait pas à briguer de nouveau mandat à la fin de l'actuel, qui achève en avril 2019. Le numéro 2 du groupe, Fabrice Brégier aussi serait sur le départ (son mandat se termine lui l'année prochaine).
Le patron d'Airbus a tenu à rassurer : il ne compte pas partir avant la fin prévue de son second mandat. « La décision sur mon avenir en tant que président exécutif d’Airbus n’est prise ni par la presse française ou le gouvernement français, ni par aucun gouvernement. Elle est prise soit par le conseil d’administration, soit par moi-même et idéalement par un consensus entre le conseil et moi-même ». Il précise travailler dans le cadre de son mandat, jusqu'en avril 2019. Sans dire pour autant s'il cherchera à en briguer un troisième.