Une saignée aussi malheureuse qu'indispensable pour le réseau social, dont les revenus et le nombre d'utilisateurs stagnent. Jack Dorsey, cofondateur de Twitter, avait été appelé par le conseil d'administration pour jouer le rôle de PDG par intérim, le temps de trouver un nouveau patron ; finalement, le conseil a estimé qu'il n'y avait pas mieux que Dorsey pour diriger et redresser la société.
Cela passe donc par une charrette de licenciements, mais également par une mesure d'apaisement des relations sociales au sein de l'entreprise. Jack Dorsey a effectivement donné aux salariés un tiers des actions qu'il détient au sein de Twitter, ce qui au cours de la fin de semaine, représente 200 millions de dollars. Ce don, c'est aussi 1% du capital de l'entreprise.
« Je préfère posséder une petite partie de quelque chose de grand, plutôt qu'une grande partie de quelque chose de petit », a expliqué le PDG qui sait que ses salariés vivent une passe psychologique difficile. De plus, il s'agit aussi de retenir les talents au sein de Twitter : la compétition est féroce entre les différentes entreprises de la Silicon Valley pour recruter et débaucher les ingénieurs.
Cela passe donc par une charrette de licenciements, mais également par une mesure d'apaisement des relations sociales au sein de l'entreprise. Jack Dorsey a effectivement donné aux salariés un tiers des actions qu'il détient au sein de Twitter, ce qui au cours de la fin de semaine, représente 200 millions de dollars. Ce don, c'est aussi 1% du capital de l'entreprise.
« Je préfère posséder une petite partie de quelque chose de grand, plutôt qu'une grande partie de quelque chose de petit », a expliqué le PDG qui sait que ses salariés vivent une passe psychologique difficile. De plus, il s'agit aussi de retenir les talents au sein de Twitter : la compétition est féroce entre les différentes entreprises de la Silicon Valley pour recruter et débaucher les ingénieurs.