Le piratage avait été dévoilé le 14 décembre 2016 par Yahoo alors en pleines discussions avec Verizon pour le rachat de son coeur de métier, les activités Internet. Selon Yahoo le piratage aurait concerné entre 1 et 1,5 milliard de comptes d’utilisateurs de ses services. Les pirates ont eu accès aux données personnelles et plusieurs centaines de milliers de comptes se sont retrouvés en vente sur le DarkWeb.
Le piratage, découvert en décembre 2016, a été perpétré en 2013 mais les pirates n’auraient pas eu accès aux données bancaires ou de carte de crédit des utilisateurs de Yahoo ce qui rassuré ces derniers mais également Verizon. L’opérateur américain a finalement racheté Yahoo pour créer sa nouvelle filiale spécialisée dans les médias, Oath, au début de l’été 2017.
Dans le cadre de la création d’Oath Verizon a fait expertiser Yahoo par des spécialistes qui auraient découvert que le piratage de 2013 était plus étendu que soupçonné. A l’époque, Yahoo avait près de 3 milliards de comptes actifs et tous auraient été exposés aux pirates. C’est Yahoo elle-même qui l’a annoncé début octobre 2017.
L’entreprise a prévenu ses utilisateurs et continue de travailler avec les autorités américaines, notamment le FBI, pour découvrir les auteurs du piratage. Dès le départ, sans pour autant que des preuves n’aient été fournies, l’enquête s’est tournée vers la possibilité d’un piratage commandité par un état plutôt que l’action d’un groupe indépendant.
Le piratage, découvert en décembre 2016, a été perpétré en 2013 mais les pirates n’auraient pas eu accès aux données bancaires ou de carte de crédit des utilisateurs de Yahoo ce qui rassuré ces derniers mais également Verizon. L’opérateur américain a finalement racheté Yahoo pour créer sa nouvelle filiale spécialisée dans les médias, Oath, au début de l’été 2017.
Dans le cadre de la création d’Oath Verizon a fait expertiser Yahoo par des spécialistes qui auraient découvert que le piratage de 2013 était plus étendu que soupçonné. A l’époque, Yahoo avait près de 3 milliards de comptes actifs et tous auraient été exposés aux pirates. C’est Yahoo elle-même qui l’a annoncé début octobre 2017.
L’entreprise a prévenu ses utilisateurs et continue de travailler avec les autorités américaines, notamment le FBI, pour découvrir les auteurs du piratage. Dès le départ, sans pour autant que des preuves n’aient été fournies, l’enquête s’est tournée vers la possibilité d’un piratage commandité par un état plutôt que l’action d’un groupe indépendant.