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L’Agence, basée à Paris, balaie d’un revers de la main l’argument qui voudrait que les pays producteurs de pétrole s’entendent pour réduire leur production. « La spéculation continuelle sur un accord entre l'Opep et les principaux producteurs non-Opep en vue de réduire la production n'est rien d'autre que de la spéculation », explique l’AIE.
Dans ces conditions, on voit mal pourquoi et comment le prix du baril pourrait augmenter. L’Opep continue ainsi d’extraire toujours plus d’or noir de ses sols. Irak, Iran et Arabie saoudite en tête, la production a atteint en janvier plus de 32 millions de barils, soit une hausse de 280 000 barils par rapport au mois de décembre. Les pays non membres de l’organisation ont eux réduit leur production, ce qui a abouti à un repli de 200 000 barils/jour le mois dernier.
Néanmoins, avec une probabilité très faible que les pays producteurs puissent s’entendre, et une consommation mondiale qui ralentit, « le risque de baisse à court terme s'est accentué ». Le baril, qui est remonté au delà des 30$, pourrait bien connaitre de nouveau une baisse dans les jours prochains.
Dans ces conditions, on voit mal pourquoi et comment le prix du baril pourrait augmenter. L’Opep continue ainsi d’extraire toujours plus d’or noir de ses sols. Irak, Iran et Arabie saoudite en tête, la production a atteint en janvier plus de 32 millions de barils, soit une hausse de 280 000 barils par rapport au mois de décembre. Les pays non membres de l’organisation ont eux réduit leur production, ce qui a abouti à un repli de 200 000 barils/jour le mois dernier.
Néanmoins, avec une probabilité très faible que les pays producteurs puissent s’entendre, et une consommation mondiale qui ralentit, « le risque de baisse à court terme s'est accentué ». Le baril, qui est remonté au delà des 30$, pourrait bien connaitre de nouveau une baisse dans les jours prochains.