François Hollande, en visite officielle en Inde, a salué comme il se doit l'accord intergouvernemental qui ouvre la voie à l'acquisition, par le pays, de 36 avions de chasse Rafale. Un contrat d'importance pour le consortium composé de Dassault, Safran et Thales. Oui mais voilà : cette signature ne garantit toujours pas la vente des avions.
Narendra Modi, le Premier ministre indien, a indiqué qu'il restait un écueil de taille : l'aspect financier. Celui-ci reste en effet « à discuter ». Néanmoins, il assure que « ce sera terminé rapidement ». Le président de la République fait lui miroiter un délai de « quelques jours » tout au plus. Dassault évoque prudemment « quatre semaines » pour finaliser l'accord…
Mais quelques jours, semaines ou mois de plus ne changeront pas grand chose. Car Paris a la volonté de vendre des Rafale à l'Inde depuis le tout début de l'année 2012. Le contenu du contrat a beaucoup évolué depuis, et désormais ce sont bien 36 Rafale qui sont au cœur de l'accord, pour un montant estimé à 5 milliards d'euros. Autant dire que New Delhi va prendre son temps avant d'apposer sa signature sur le chèque.
Narendra Modi, le Premier ministre indien, a indiqué qu'il restait un écueil de taille : l'aspect financier. Celui-ci reste en effet « à discuter ». Néanmoins, il assure que « ce sera terminé rapidement ». Le président de la République fait lui miroiter un délai de « quelques jours » tout au plus. Dassault évoque prudemment « quatre semaines » pour finaliser l'accord…
Mais quelques jours, semaines ou mois de plus ne changeront pas grand chose. Car Paris a la volonté de vendre des Rafale à l'Inde depuis le tout début de l'année 2012. Le contenu du contrat a beaucoup évolué depuis, et désormais ce sont bien 36 Rafale qui sont au cœur de l'accord, pour un montant estimé à 5 milliards d'euros. Autant dire que New Delhi va prendre son temps avant d'apposer sa signature sur le chèque.