Mark Reilly, ancien directeur de GSK en Chine, serait désormais inculpé et recherché pour corruption. Il aurait mis en place un système pour promouvoir les produits du laboratoire pharmaceutique auprès, notamment, des hôpitaux chinois. Les autorités chinoises croient savoir que Mark Reilly se trouverait encore sur le sol chinois.
Selon les autorités qui se sont chargées de l’enquête et qui ont passé le dossier aux autorités judiciaires, Mark Reilly aurait été à la tête d’un réseau de corruption de grande envergure qu’il gérait personnellement. Ce réseau aurait permis à GSK de réaliser des bénéfices de plusieurs milliards de yuan totalement illégalement, la corruption étant interdite.
Selon les autorités, Reilly et deux autres cadres du groupe auraient incité et pressé leurs équipes de vente pour qu’elles payent docteurs, agents hospitaliers et institutions sanitaires afin qu’ils préfèrent utiliser les produits de GlaxoSmithKline plutôt que ceux d’autres laboratoire concurrents.
La méthode utilisée par les cadres de GSK aurait impliqué diverses agences de voyages et de conseil pour transférer les pots-de-vin qui, selon les autorités chinoises, se chiffreraient en milliards. GSK s’est excusé pour le comportement de ses employés qu’il condamne, a annoncé une collaboration étroite avec les autorités mais a nié les sommes qui lui sont reprochées.
Cette annonce de la part des autorités chinoises fait écho aux allégations d’un représentant du laboratoire pharmaceutique, Jarek Wisnieski, qui a dévoilé en avril 2014 scandale similaire en Pologne à la BBC. Les docteurs seraient payés par les représentants pour promouvoir le médicament contre l’asthme développé par GSK, le Seretide. Les autorités polonaises ont entamé une enquête.
Si les deux affaires s’avéraient confirmées, GSK aurait violé les lois britanniques et américaines sur la corruption et pourrait devoir s’expliquer devant les autorités des deux pays.
Selon les autorités qui se sont chargées de l’enquête et qui ont passé le dossier aux autorités judiciaires, Mark Reilly aurait été à la tête d’un réseau de corruption de grande envergure qu’il gérait personnellement. Ce réseau aurait permis à GSK de réaliser des bénéfices de plusieurs milliards de yuan totalement illégalement, la corruption étant interdite.
Selon les autorités, Reilly et deux autres cadres du groupe auraient incité et pressé leurs équipes de vente pour qu’elles payent docteurs, agents hospitaliers et institutions sanitaires afin qu’ils préfèrent utiliser les produits de GlaxoSmithKline plutôt que ceux d’autres laboratoire concurrents.
La méthode utilisée par les cadres de GSK aurait impliqué diverses agences de voyages et de conseil pour transférer les pots-de-vin qui, selon les autorités chinoises, se chiffreraient en milliards. GSK s’est excusé pour le comportement de ses employés qu’il condamne, a annoncé une collaboration étroite avec les autorités mais a nié les sommes qui lui sont reprochées.
Cette annonce de la part des autorités chinoises fait écho aux allégations d’un représentant du laboratoire pharmaceutique, Jarek Wisnieski, qui a dévoilé en avril 2014 scandale similaire en Pologne à la BBC. Les docteurs seraient payés par les représentants pour promouvoir le médicament contre l’asthme développé par GSK, le Seretide. Les autorités polonaises ont entamé une enquête.
Si les deux affaires s’avéraient confirmées, GSK aurait violé les lois britanniques et américaines sur la corruption et pourrait devoir s’expliquer devant les autorités des deux pays.