Les PME et de 3 à 9 et de 50 à 99 salariés résistent le mieux
En France, le nombre trimestriel de défaillances d’entreprises est tombé sous le seuil des 11 000 pour la première fois depuis 2007. En données glissées sur douze mois, le mois de septembre 2017 signe la 34e baisse mensuelle consécutive du nombre de défaillances d’entreprises, exception faite de trois mois en 2015.
Après un nombre élevé en septembre 2016 (+20 % sur un an), en septembre 2017 les TPE de 3 à 9 salariés parviennent à stabiliser la sinistralité. Les PME de 20 à 49 salariés font un peu moins bien, car les défaillances progressent de 3,7 %. La sinistralité des PME de 50 à 99 salariés se stabilise à un niveau bas, pendant que celle des PME de taille plus importante, à partir de 100 salariés, se réduit sensiblement (-23 %).
Sur un an, le nombre de redressements judiciaires a baissé de 5,1 %, et le nombre de liquidations judiciaires de 5 %. Le nombre de procédures de sauvegarde a, quant à lui, baissé de 13,4 %.
Après un nombre élevé en septembre 2016 (+20 % sur un an), en septembre 2017 les TPE de 3 à 9 salariés parviennent à stabiliser la sinistralité. Les PME de 20 à 49 salariés font un peu moins bien, car les défaillances progressent de 3,7 %. La sinistralité des PME de 50 à 99 salariés se stabilise à un niveau bas, pendant que celle des PME de taille plus importante, à partir de 100 salariés, se réduit sensiblement (-23 %).
Sur un an, le nombre de redressements judiciaires a baissé de 5,1 %, et le nombre de liquidations judiciaires de 5 %. Le nombre de procédures de sauvegarde a, quant à lui, baissé de 13,4 %.
La construction et l’habillement se portent bien, les hôtels déposent le bilan
Le recul des défaillances est le plus prononcé dans le secteur de l’habillement (-29 %, soit 299 dépôts de bilan). Viennent ensuite la construction de maisons individuelles (-22 %), le gros œuvre et les travaux publics (-11 %), les boulangeries artisanales (-10 %) et les entreprises du secteur agroalimentaire (-7 %). Les salons de coiffure enregistrent une baisse des défaillances de 9 % et la restauration traditionnelle de 7 %.
Les défaillances restent pourtant très prononcées dans le secteur de l’hébergement (+17 %), dans la communication et la gestion (+11 %), et la programmation informatique (+7 %).
Les régions où la sinistralité baisse le plus sont les Hauts-de-France (-19,4%), la Nouvelle-Aquitaine (-12,2 %), la Bretagne (-11,4 %), l’Auvergne – Rhône-Alpes (-8,7 %), l’Occitanie (-5,8 %) et les Pays-de-la-Loire (-3,5 %). À l’autre bout du spectre on voit des régions comme la Franche-Comté (+5,7 %), le Centre Val de Loire (+5,6 %) et la Provence-Alpes-Côte-D’azur (+3,4 %).
Les défaillances restent pourtant très prononcées dans le secteur de l’hébergement (+17 %), dans la communication et la gestion (+11 %), et la programmation informatique (+7 %).
Les régions où la sinistralité baisse le plus sont les Hauts-de-France (-19,4%), la Nouvelle-Aquitaine (-12,2 %), la Bretagne (-11,4 %), l’Auvergne – Rhône-Alpes (-8,7 %), l’Occitanie (-5,8 %) et les Pays-de-la-Loire (-3,5 %). À l’autre bout du spectre on voit des régions comme la Franche-Comté (+5,7 %), le Centre Val de Loire (+5,6 %) et la Provence-Alpes-Côte-D’azur (+3,4 %).