Le ministre de l’Action et des Comptes publics a confirmé dans un entretien au Journal du Dimanche que le dirigeant d’une société cotée ou qui compte l’État à son capital doit être résident fiscal en France. Gérald Darmanin rebondissait ainsi sur une déclaration d’Emmanuel Macron datant du 10 décembre, alors que le mouvement des « gilets jaunes » battait son plein. Le chef de l’État avait alors indiqué que « le dirigeant d'une entreprise française doit payer ses impôts en France et les grandes entreprises qui y font des profits doivent y payer l'impôt ».
C’est Bercy qui est en charge de s’assurer que c’est bien le cas. « Nous sommes en train de nous en assurer et nous sommes prêts à prendre toutes les mesures nécessaires si tel n'était pas le cas », a expliqué le ministre, sans préciser la nature des mesures. Gérald Darmanin a également défendu la position du gouvernement sur l’impôt sur la fortune : « la suppression de l'ISF, qui était un impôt absurde, doit aller de pair avec un certain civisme fiscal ». À bon entendeur…
L’autre dossier de la plus haute importance pour l’administration fiscale, c’est le prélèvement à la source. Le gouvernement fait « confiance aux entreprises », qui à compter du 1er janvier vont devoir collecter l’impôt sur le revenu. « Et si dans tout système, il peut y avoir des fraudes, l'administration sera vigilante, mais notre rôle est d'accompagner l'entreprise », relève le ministre qui promet qu’en cas de problème d’acquittement, « ce sera sans aucune conséquence pour le particulier ».
C’est Bercy qui est en charge de s’assurer que c’est bien le cas. « Nous sommes en train de nous en assurer et nous sommes prêts à prendre toutes les mesures nécessaires si tel n'était pas le cas », a expliqué le ministre, sans préciser la nature des mesures. Gérald Darmanin a également défendu la position du gouvernement sur l’impôt sur la fortune : « la suppression de l'ISF, qui était un impôt absurde, doit aller de pair avec un certain civisme fiscal ». À bon entendeur…
L’autre dossier de la plus haute importance pour l’administration fiscale, c’est le prélèvement à la source. Le gouvernement fait « confiance aux entreprises », qui à compter du 1er janvier vont devoir collecter l’impôt sur le revenu. « Et si dans tout système, il peut y avoir des fraudes, l'administration sera vigilante, mais notre rôle est d'accompagner l'entreprise », relève le ministre qui promet qu’en cas de problème d’acquittement, « ce sera sans aucune conséquence pour le particulier ».