Comment avez-vous choisi de devenir opticien ?
Après avoir passé sans succès des concours de médecine et de pharmacie, à 21 ans, je décide de m’orienter vers un BTS optique, obtenu auprès de l’EFSO Montpellier. Puis, je poursuis mes études par un Certificat de qualification professionnel « Commerce » pour me spécialiser : implantation, relations fournisseur, zone de chalandise, etc. J’ai envisagé l’idée de devenir chef d’entreprise au cours de cette formation post BTS. Aujourd’hui, mon équipe est composée de 3 titulaires à plein temps, avec des stagiaires ou des alternants en fonction des besoins. J’ai été au contact des clients dans le magasin pendant 10 ans. Aujourd’hui, je recentre mon activité sur la gestion et le pilotage : politiques d’achats, politique de vente, de communication, la stratégie, le digital… des segments d’activités sur lesquels nous sommes bien accompagnés par le réseau. Je reste passionné par les défis techniques, humains et administratifs que représente le métier de chef d’entreprise.
Pourquoi le choix de la franchise, plus que celui de l’indépendance totale ?
La franchise représente selon moi le meilleur compromis entre liberté et accompagnement. La liberté de l’indépendant est totale, mais elle s’accompagne de beaucoup de contraintes et de temps perdu, avec tout à gérer tout seul. Ce temps perdu est celui que l’on ne passe pas avec les clients. La franchise permet de se concentrer sur notre cœur de métier. Ayant ouvert mon magasin jeune, c’était aussi une sécurité de pouvoir s’appuyer sur un réseau capable de m’accompagner sur de nombreux petits détails. Par exemple, le franchisé a accès à un web shop dans lequel se trouve tout le packaging marketing nécessaire. Cela rassure le consommateur, et pour le professionnel, c’est l’assurance d’avoir une multitude d’outils professionnels à disposition, aussi bien physiques que numériques.
Les coopératives ne vous ont pas tenté ?
La coopérative est un système où chaque opticien est « actionnaire » du groupement d’intérêt économique. Chaque opticien est donc tenu de suivre les décisions prises collectivement. Par exemple, une campagne de communication, votée par les sociétaires de la coopérative en AG, doit être mise en œuvre dans tous les magasins. Les franchises nous laissent plus d’autonomie, notamment dans le choix des marques et des fournisseurs, mais ce sont aussi plus de responsabilités à gérer seuls. Cela étant, il est dans notre intérêt de suivre les décisions de la franchise : tout étant financé par nos redevances, ce serait dommage de ne pas s’appuyer dessus.
Pourquoi avoir choisi le réseau Lissac ? Qu’est-ce qui vous a séduit dans le concept ?
Je connaissais Lissac via des congrès organisés par l’enseigne, congrès à l’origine d’une relation forte avec le milieu médical. Quand je suis sorti de ma formation de BTS, j’avais une certaine idée sur la façon d’exercer le métier. Je voulais me tourner vers une marque premium et Lissac correspond bien à cette image. Je me refuse à appâter le client avec des prix réduits, je souhaite vendre des lunettes au prix juste, avec l’assurance pour le client d’obtenir un produit médical de qualité. Je savais que c’est ce que je pourrai faire avec Lissac.
Quels sont, d’après vous, les points forts de Lissac ?
Auprès des clients, comme des prescripteurs, Lissac a toujours eu une très bonne image de marque. En notoriété spontanée, Lissac sort dans les premières positions. Les clients ne viennent pas chez Lissac parce qu’ils veulent la meilleure remise, mais parce qu’ils veulent avoir affaire à des professionnels de santé leur offrant une prestation irréprochable sur des produits de qualité. Tous les franchisés signent par exemple une charte de déontologie sur l’exercice du métier. Il y a chez Lissac une vraie volonté de donner des gages de qualité à nos diverses parties prenantes.
Pour un franchisé, la stabilité et la qualité des équipes du réseau est aussi un vrai plus. En 10 ans, certains de mes interlocuteurs ont changé de poste mais je pense que 90% d’entre eux travaillent toujours chez Lissac. A cette « pérennité humaine » s’ajoute la qualité de gestion des franchisés. La franchise est vraiment là pour nous suppléer dans toutes les petites tâches : logo, publicité, aujourd’hui bien sûr, la présence sur les plateformes digitales, etc. Pour nous, franchisés, c’est un gain de temps qui nous permet de passer plus de temps avec le client, de créer une relation de confiance avec lui, de lui offrir un service de qualité et professionnel.
Comment avez-vous été accompagné dans votre lancement par votre franchiseur ? Et quel rôle occupe Lissac à vos côtés aujourd’hui ?
Lissac est un réseau très organisé, avec des personnes dédiées pour chaque tâche, de la communication digitale à la relation avec les mutuelles, en passant par les expansions. Si je cherche à ouvrir un deuxième magasin, je vais par exemple être mis en relation avec un responsable d’expansion, capable d’analyser une situation d’implantation : loyer, charges, coût de l’agencement, concurrences… Le responsable d’expansion a un rôle essentiel de conseil. Je suis véritablement « partenaire en affaires » avec Lissac, dans une relation qui fonctionne dans les deux sens : si j’ai une idée qu’ils considèrent pertinente, ils sont capables de la proposer à l’ensemble du réseau des franchisés. Lissac gère aussi un certain nombre de formations en interne, car le marché de l’optique est en pleine mutation, avec des évolutions technologiques constantes, notamment dans la prise de mesure, la manière de fabriquer les lunettes... Les nouvelles méthodes de télétransmission sont également assez complexes et nécessitent d’être accompagnées dans leur implémentation.
Quels conseils donneriez-vous à ceux qui souhaitent se lancer en tant que chef d’entreprise et aux candidats désireux de rejoindre Lissac ?
Pour se lancer, il faut avant tout choisir une enseigne de confiance. Se rappeler ensuite qu’un franchisé a une certaine liberté en tant que chef d’entreprise indépendant. Mais comme pour tout chef d’entreprise, c’est une liberté toute relative, avec beaucoup de responsabilités. La qualité de l’accompagnement Lissac apporte de la sérénité. La gestion du déconfinement en a été l’illustration : l’enseigne avait prévu un achat groupé de gel, des gants et de visières au niveau national, et rédigé des protocoles. Les indépendants ont probablement eu plus de difficultés à gérer cette phase.
Après avoir passé sans succès des concours de médecine et de pharmacie, à 21 ans, je décide de m’orienter vers un BTS optique, obtenu auprès de l’EFSO Montpellier. Puis, je poursuis mes études par un Certificat de qualification professionnel « Commerce » pour me spécialiser : implantation, relations fournisseur, zone de chalandise, etc. J’ai envisagé l’idée de devenir chef d’entreprise au cours de cette formation post BTS. Aujourd’hui, mon équipe est composée de 3 titulaires à plein temps, avec des stagiaires ou des alternants en fonction des besoins. J’ai été au contact des clients dans le magasin pendant 10 ans. Aujourd’hui, je recentre mon activité sur la gestion et le pilotage : politiques d’achats, politique de vente, de communication, la stratégie, le digital… des segments d’activités sur lesquels nous sommes bien accompagnés par le réseau. Je reste passionné par les défis techniques, humains et administratifs que représente le métier de chef d’entreprise.
Pourquoi le choix de la franchise, plus que celui de l’indépendance totale ?
La franchise représente selon moi le meilleur compromis entre liberté et accompagnement. La liberté de l’indépendant est totale, mais elle s’accompagne de beaucoup de contraintes et de temps perdu, avec tout à gérer tout seul. Ce temps perdu est celui que l’on ne passe pas avec les clients. La franchise permet de se concentrer sur notre cœur de métier. Ayant ouvert mon magasin jeune, c’était aussi une sécurité de pouvoir s’appuyer sur un réseau capable de m’accompagner sur de nombreux petits détails. Par exemple, le franchisé a accès à un web shop dans lequel se trouve tout le packaging marketing nécessaire. Cela rassure le consommateur, et pour le professionnel, c’est l’assurance d’avoir une multitude d’outils professionnels à disposition, aussi bien physiques que numériques.
Les coopératives ne vous ont pas tenté ?
La coopérative est un système où chaque opticien est « actionnaire » du groupement d’intérêt économique. Chaque opticien est donc tenu de suivre les décisions prises collectivement. Par exemple, une campagne de communication, votée par les sociétaires de la coopérative en AG, doit être mise en œuvre dans tous les magasins. Les franchises nous laissent plus d’autonomie, notamment dans le choix des marques et des fournisseurs, mais ce sont aussi plus de responsabilités à gérer seuls. Cela étant, il est dans notre intérêt de suivre les décisions de la franchise : tout étant financé par nos redevances, ce serait dommage de ne pas s’appuyer dessus.
Pourquoi avoir choisi le réseau Lissac ? Qu’est-ce qui vous a séduit dans le concept ?
Je connaissais Lissac via des congrès organisés par l’enseigne, congrès à l’origine d’une relation forte avec le milieu médical. Quand je suis sorti de ma formation de BTS, j’avais une certaine idée sur la façon d’exercer le métier. Je voulais me tourner vers une marque premium et Lissac correspond bien à cette image. Je me refuse à appâter le client avec des prix réduits, je souhaite vendre des lunettes au prix juste, avec l’assurance pour le client d’obtenir un produit médical de qualité. Je savais que c’est ce que je pourrai faire avec Lissac.
Quels sont, d’après vous, les points forts de Lissac ?
Auprès des clients, comme des prescripteurs, Lissac a toujours eu une très bonne image de marque. En notoriété spontanée, Lissac sort dans les premières positions. Les clients ne viennent pas chez Lissac parce qu’ils veulent la meilleure remise, mais parce qu’ils veulent avoir affaire à des professionnels de santé leur offrant une prestation irréprochable sur des produits de qualité. Tous les franchisés signent par exemple une charte de déontologie sur l’exercice du métier. Il y a chez Lissac une vraie volonté de donner des gages de qualité à nos diverses parties prenantes.
Pour un franchisé, la stabilité et la qualité des équipes du réseau est aussi un vrai plus. En 10 ans, certains de mes interlocuteurs ont changé de poste mais je pense que 90% d’entre eux travaillent toujours chez Lissac. A cette « pérennité humaine » s’ajoute la qualité de gestion des franchisés. La franchise est vraiment là pour nous suppléer dans toutes les petites tâches : logo, publicité, aujourd’hui bien sûr, la présence sur les plateformes digitales, etc. Pour nous, franchisés, c’est un gain de temps qui nous permet de passer plus de temps avec le client, de créer une relation de confiance avec lui, de lui offrir un service de qualité et professionnel.
Comment avez-vous été accompagné dans votre lancement par votre franchiseur ? Et quel rôle occupe Lissac à vos côtés aujourd’hui ?
Lissac est un réseau très organisé, avec des personnes dédiées pour chaque tâche, de la communication digitale à la relation avec les mutuelles, en passant par les expansions. Si je cherche à ouvrir un deuxième magasin, je vais par exemple être mis en relation avec un responsable d’expansion, capable d’analyser une situation d’implantation : loyer, charges, coût de l’agencement, concurrences… Le responsable d’expansion a un rôle essentiel de conseil. Je suis véritablement « partenaire en affaires » avec Lissac, dans une relation qui fonctionne dans les deux sens : si j’ai une idée qu’ils considèrent pertinente, ils sont capables de la proposer à l’ensemble du réseau des franchisés. Lissac gère aussi un certain nombre de formations en interne, car le marché de l’optique est en pleine mutation, avec des évolutions technologiques constantes, notamment dans la prise de mesure, la manière de fabriquer les lunettes... Les nouvelles méthodes de télétransmission sont également assez complexes et nécessitent d’être accompagnées dans leur implémentation.
Quels conseils donneriez-vous à ceux qui souhaitent se lancer en tant que chef d’entreprise et aux candidats désireux de rejoindre Lissac ?
Pour se lancer, il faut avant tout choisir une enseigne de confiance. Se rappeler ensuite qu’un franchisé a une certaine liberté en tant que chef d’entreprise indépendant. Mais comme pour tout chef d’entreprise, c’est une liberté toute relative, avec beaucoup de responsabilités. La qualité de l’accompagnement Lissac apporte de la sérénité. La gestion du déconfinement en a été l’illustration : l’enseigne avait prévu un achat groupé de gel, des gants et de visières au niveau national, et rédigé des protocoles. Les indépendants ont probablement eu plus de difficultés à gérer cette phase.