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Première initiative originale : ce lundi, la CGPME appellent ses adhérents à descendre dans la rue, à Toulouse et à Paris, où la manifestation s'arrêtera sous les fenêtres du ministère des Finances, à Bercy. On a peu souvent vu des patrons défiler, ce sera donc surtout une question de symbole car il ne s'agira pas de se comparer avec les mobilisations rassembleuses des syndicats de salariés…
Viendra ensuite le point d'orgue de mercredi où, à Lyon, la CGPME, le Medef et l'UPA ont appelé à un rassemblement. L'occasion de pointer du doigt les difficultés économiques dans lesquelles les chefs d'entreprises sont plongés, même avec un crédit impôts compétitivité emploi (Cice) qui ne donne de toutes façons pas les effets escomptés.
Le patronat, qui livrera aussi un manifeste et un site web, et qui organisera des rencontres publiques à travers toute la France, espère pousser le gouvernement à agir plus rapidement et de manière plus concrète pour aider les entrepreneurs.
Certaines déclarations, comme celle du chef de file des députés PS Bruno Le Roux, ne sont pas pour leur donner espoir en l'avenir : ce dernier a en effet estimé que le gouvernement pourrait revenir sur les 40 milliards de baisses des charges programmées, si jamais les effets attendus n'étaient pas rendez-vous.
Viendra ensuite le point d'orgue de mercredi où, à Lyon, la CGPME, le Medef et l'UPA ont appelé à un rassemblement. L'occasion de pointer du doigt les difficultés économiques dans lesquelles les chefs d'entreprises sont plongés, même avec un crédit impôts compétitivité emploi (Cice) qui ne donne de toutes façons pas les effets escomptés.
Le patronat, qui livrera aussi un manifeste et un site web, et qui organisera des rencontres publiques à travers toute la France, espère pousser le gouvernement à agir plus rapidement et de manière plus concrète pour aider les entrepreneurs.
Certaines déclarations, comme celle du chef de file des députés PS Bruno Le Roux, ne sont pas pour leur donner espoir en l'avenir : ce dernier a en effet estimé que le gouvernement pourrait revenir sur les 40 milliards de baisses des charges programmées, si jamais les effets attendus n'étaient pas rendez-vous.