Revalorisation des pensions de retraite
Face à une inflation persistante, le gouvernement prend des mesures pour soutenir les retraités et les personnes bénéficiant de minimas sociaux. Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, a annoncé une revalorisation des pensions de retraite de 5,2 % au 1er janvier 2024. Lors de son entretien avec les lecteurs du Parisien, il a précisé que cette hausse a pour but de « protéger tous les retraités contre l'inflation ».
Cette question de la hausse des prix demeure préoccupante en France, avec un taux qui reste à 11,2 % sur une année, au mois d'août 2023, selon les chiffres de l'Insee. Bruno Le Maire a évoqué son ambition de ramener ce taux « autour des 2 % », sans fournir plus de détails sur les moyens d'y parvenir. Emmanuel Macron a, quant à lui, envisagé la possibilité d'un accord sur la modération des marges dans le secteur de la grande distribution.
Cette question de la hausse des prix demeure préoccupante en France, avec un taux qui reste à 11,2 % sur une année, au mois d'août 2023, selon les chiffres de l'Insee. Bruno Le Maire a évoqué son ambition de ramener ce taux « autour des 2 % », sans fournir plus de détails sur les moyens d'y parvenir. Emmanuel Macron a, quant à lui, envisagé la possibilité d'un accord sur la modération des marges dans le secteur de la grande distribution.
Contre la hausse des prix, la revalorisation des minimas sociaux
L'interview a également été l'occasion pour le locataire de Bercy de dévoiler une augmentation des minimas sociaux « de 4,6 % environ », ce qui se traduirait par une hausse « de 28 euros par mois pour le RSA ». En outre, le ministre a confirmé que « toutes les mesures prises pour les étudiants, comme l'augmentation des bourses, la hausse du nombre de jeunes qui vont en bénéficier, la Sécurité sociale ou le repas à un euro, seront maintenues dans le budget pour 2024 ».
Sur le front du coût de la vie, le gouvernement ne veut pas paraitre inactif. Emmanuel Macron a annoncé le 24 septembre dernier une aide qui serait « limitée aux travailleurs » pour compenser la hausse des prix du carburant. Cette aide pourrait atteindre « 100 euros par voiture et par an » et ciblerait 50 % des ménages les plus modestes. Le 26 septembre, les enseignes de supermarchés ont également pris l'engagement de vendre l'essence « à prix coûtant », sans bénéfice.
Sur le front du coût de la vie, le gouvernement ne veut pas paraitre inactif. Emmanuel Macron a annoncé le 24 septembre dernier une aide qui serait « limitée aux travailleurs » pour compenser la hausse des prix du carburant. Cette aide pourrait atteindre « 100 euros par voiture et par an » et ciblerait 50 % des ménages les plus modestes. Le 26 septembre, les enseignes de supermarchés ont également pris l'engagement de vendre l'essence « à prix coûtant », sans bénéfice.