1 dirigeant de PME sur 6 craint une baisse de son chiffre d’affaires en 2018
Interrogés sur leur perception de l’évolution à venir de leur activité, les dirigeants de PME françaises sont très nombreux à faire état de leur optimisme. Au premier semestre 2018, 42% des chefs d’entreprise espèrent une hausse de leur chiffre d’affaires en 2018, un pourcentage certes moindre qu’à la même période en 2017 (47%), mais qui reste tout de même élevé, révèle Bpifrance. En même temps, 16% d’entre eux déclaraient craindre une baisse de leur chiffre d’affaires, un pourcentage moins élevé qu’au premier trimestre 2017 (21%).
À noter que les PME exportatrices, innovantes et celles ayant un effectif supérieur à dix salariés affichent un optimisme supérieur à la moyenne.
À noter que les PME exportatrices, innovantes et celles ayant un effectif supérieur à dix salariés affichent un optimisme supérieur à la moyenne.
Jamais depuis 2002 les PME n’ont eu autant de mal à trouver du personnel
Même si la plupart des PME anticipent toujours une activité dynamique, des difficultés en termes de recrutements existent. Actuellement, 41% des PME disent faire face à des difficultés de recrutement, contre 34% il y a un an. Il s’agit de la proportion la plus élevée depuis 2002. Les PME des secteurs du Commerce/Réparation automobile (53%), des Biens intermédiaires (48%) et d’équipement (49%) et des Transports (48%) sont les plus affectées par ces difficultés.
Au premier trimestre 2018, 26% des PME annoncent des dépenses d’investissement en hausse, tandis que 23% prévoient de les baisser. (Pour rappel, d’après la précédente enquête menée en novembre 2017, 54% des PME avaient investi en 2017, soit 3 points de plus qu’en 2016 et la moitié d’entre eux avait investi des volumes plus importants qu’en 2016.)
Au premier trimestre 2018, 26% des PME annoncent des dépenses d’investissement en hausse, tandis que 23% prévoient de les baisser. (Pour rappel, d’après la précédente enquête menée en novembre 2017, 54% des PME avaient investi en 2017, soit 3 points de plus qu’en 2016 et la moitié d’entre eux avait investi des volumes plus importants qu’en 2016.)