Parmi les signataires de ce manifeste, on dénombre deux syndicats (la FSPF et l'USPO), la Chambre syndicale des groupements et enseignes de pharmacies, l'Ordre national des pharmaciens, l’Association de pharmacie rurale… Bref, le ban et l'arrière-ban de la profession qui se sont donc entendus pour tirer sonnette d'alarme. Selon le manifeste, « la rémunération des pharmacies d’officine est en forte diminution pour la deuxième année consécutive ».
Ces organisations ont calculé une baisse de plus de 2% de la rémunération des pharmaciens rien que sur les quatre premiers mois de l'année. Une situation effectivement difficile, qui entraîne des « fermetures brutales et remet en cause le maillage territorial » des officines. Elles sont au nombre de 22 350 en France, qui emploient 120 000 salariés et 6 500 apprentis. Évidemment, les difficultés économiques risquent de faire chuter les effectifs.
Les pharmaciens écrivent qu'ils sont bien souvent « le seul poste avancé du système de santé » ainsi que des pourvoyeurs d'emplois dans les zones rurales et les quartiers difficiles. Comment remédier à ce problème ? Les organisations appellent les pouvoirs publics à « s’engager avant le Projet de loi de finance de la Sécurité sociale pour fixer un cadre économique clair, indispensable avant l’ouverture de la négociation de la convention nationale pharmaceutique ».
Ces organisations ont calculé une baisse de plus de 2% de la rémunération des pharmaciens rien que sur les quatre premiers mois de l'année. Une situation effectivement difficile, qui entraîne des « fermetures brutales et remet en cause le maillage territorial » des officines. Elles sont au nombre de 22 350 en France, qui emploient 120 000 salariés et 6 500 apprentis. Évidemment, les difficultés économiques risquent de faire chuter les effectifs.
Les pharmaciens écrivent qu'ils sont bien souvent « le seul poste avancé du système de santé » ainsi que des pourvoyeurs d'emplois dans les zones rurales et les quartiers difficiles. Comment remédier à ce problème ? Les organisations appellent les pouvoirs publics à « s’engager avant le Projet de loi de finance de la Sécurité sociale pour fixer un cadre économique clair, indispensable avant l’ouverture de la négociation de la convention nationale pharmaceutique ».