Un horaire atypique, cela signifie travailler le week-end, le soir, la nuit. Les travailleurs français sont de plus en plus concernés par cette pratique, d’après cette étude de la DARES. 44% d’entre eux ont ainsi travaillé au moins une fois dans le mois durant un horaire atypique : 35% ont été mobilisés un samedi ; 23% le soir; entre 20 h et minuit ; 19% ont travaillé le dimanche. Enfin, le travail de nuit concerne 9% des salariés en France.
La DARES note que les horaires atypiques touchent légèrement plus les hommes que les femmes (44,2% contre 43%). Les hommes sont 26% à avoir travaillé en soirée et la nuit, alors que les femmes sont 21% à avoir travaillé en soirée, et 6% la nuit. « L’âge semble aussi être un facteur, les horaires atypiques semblent diminuer en général à partir de 40 ans. Travailler en soirée est moins fréquent à partir de 50 ans, de manière plus progressive chez les femmes », explique l’étude.
Le travail le samedi concerne plus les jeunes travailleurs (moins de 30 ans). Une tendance qui diminue depuis 25 ans néanmoins. Plus globalement, ces salariés dans la fleur de l’âge travaillent plus souvent à des horaires atypiques. Les cadres et les professions intellectuelles supérieures sont plus enclins à rallonger leurs horaires de travail : 44,9% d’entre eux se soumettent au moins une fois par mois au travail le soir.
La DARES note que les horaires atypiques touchent légèrement plus les hommes que les femmes (44,2% contre 43%). Les hommes sont 26% à avoir travaillé en soirée et la nuit, alors que les femmes sont 21% à avoir travaillé en soirée, et 6% la nuit. « L’âge semble aussi être un facteur, les horaires atypiques semblent diminuer en général à partir de 40 ans. Travailler en soirée est moins fréquent à partir de 50 ans, de manière plus progressive chez les femmes », explique l’étude.
Le travail le samedi concerne plus les jeunes travailleurs (moins de 30 ans). Une tendance qui diminue depuis 25 ans néanmoins. Plus globalement, ces salariés dans la fleur de l’âge travaillent plus souvent à des horaires atypiques. Les cadres et les professions intellectuelles supérieures sont plus enclins à rallonger leurs horaires de travail : 44,9% d’entre eux se soumettent au moins une fois par mois au travail le soir.