Alors que Numericable partait largement favori, ayant déjà tenté de racheter SFR sans succès par le passé et donc connaissant déjà le dossier, Bouygues Telecom a créé la surprise en proposant en un temps record une offre digne d’intérêt sur plusieurs points. Et surtout en s’alliant à Free, pourtant son ennemi, pour rendre cette offre viable aux yeux de l’Autorité de la Concurrence.
Si Numericable promet de maintenir l’emploi puisqu’il n’est pas présent dans le secteur du mobile et donc ne risque pas de se retrouver avec des effectifs en double, son offre se base grandement sur de la dette. Et, qui plus est, la publication de ses résultats annuels n’est pas en sa faveur avec un bénéfice net en chute et bien en dessous des attentes des analystes.
De son côté, Bouygues Telecom semble doucement conquérir un consensus non négligeable. Déjà de ses concurrents, Free et Orange, qui sont tous les deux pour une fusion Bouygues – SFR et un retour à trois opérateurs. Surtout Free qui serait le grand gagnant de cette affaire en rachetant les fréquences et l’infrastructure de Bouygues et comblant, par-là, son retard.
Puis, auprès du gouvernement : Arnaud Montebourg s’est déclaré expressément favorable à la fusion Bouygues – SFR qui maintiendrait la société en France (Numericable étant basée au Luxembourg). De plus, depuis une lettre que Martin Bouygues a envoyée au ministre du Redressement productif, il estime les promesses de Bouygues Telecom garanties.
Numericable, qui de son côté semble jouer cavalier seul, ne perd pas espoir et s’offre même le luxe de lancer un ultimatum à Vivendi. Loin de remanier son offre, Numericable a déclaré que celle-ci était valable jusqu’au vendredi 14 mars 2014.
Reste à savoir qui Vivendi va choisir pour reprendre son activité télécom, très prisée.
Si Numericable promet de maintenir l’emploi puisqu’il n’est pas présent dans le secteur du mobile et donc ne risque pas de se retrouver avec des effectifs en double, son offre se base grandement sur de la dette. Et, qui plus est, la publication de ses résultats annuels n’est pas en sa faveur avec un bénéfice net en chute et bien en dessous des attentes des analystes.
De son côté, Bouygues Telecom semble doucement conquérir un consensus non négligeable. Déjà de ses concurrents, Free et Orange, qui sont tous les deux pour une fusion Bouygues – SFR et un retour à trois opérateurs. Surtout Free qui serait le grand gagnant de cette affaire en rachetant les fréquences et l’infrastructure de Bouygues et comblant, par-là, son retard.
Puis, auprès du gouvernement : Arnaud Montebourg s’est déclaré expressément favorable à la fusion Bouygues – SFR qui maintiendrait la société en France (Numericable étant basée au Luxembourg). De plus, depuis une lettre que Martin Bouygues a envoyée au ministre du Redressement productif, il estime les promesses de Bouygues Telecom garanties.
Numericable, qui de son côté semble jouer cavalier seul, ne perd pas espoir et s’offre même le luxe de lancer un ultimatum à Vivendi. Loin de remanier son offre, Numericable a déclaré que celle-ci était valable jusqu’au vendredi 14 mars 2014.
Reste à savoir qui Vivendi va choisir pour reprendre son activité télécom, très prisée.