Pour l’entrepreneur, la reprise est une option intéressante. Elle permet tout d’abord de mettre la main sur une activité déjà existante au préalable, et parfois même, une activité déjà pérenne ! Le repreneur peut espérer dénicher au mieux une entreprise avec son patrimoine foncier, ses équipements, ses équipes, sa clientèle et une activité. Au pire, cette entreprise constituera, pour l’acheteur motivé, un challenge si elle se trouve en difficulté. Il conviendra alors que le repreneur sache déterminer sa propre capacité de redressement d’une telle affaire.
Pour ce faire, il n’est pas inutile de dresser un cahier des charges afin de faire le point sur le type d’entreprise recherchée par le repreneur. Fixer des critères a ici une fonction : s’assurer que l’entreprise retenue correspond effectivement avec les compétences du repreneur. En tant que futur dirigeant, il est en effet indispensable que celui-ci se projette dans ses futures fonctions et évalue au préalable et avec précision ses capacités à les remplir efficacement. Partir à la rencontre des cédants peut alors être judicieux.
Lorsqu’une ou plusieurs entreprises ont été identifiées comme potentiellement intéressantes. Le repreneur peut tout à fait anticiper les enjeux liés à la gestion de ces nouvelles affaires. Avant de procéder au rachat, il est tout à fait pertinent de chercher à connaître l’environnement de l’entreprise convoitée : comment se positionne la concurrence ? Y a-t-il des obligations légales dans le secteur ? Quels sont les défis technologiques qui se posent à l’entreprise ? En somme, une analyse de type PESTEL permettra au repreneur méticuleux d’éviter avantageusement toute mauvaise surprise à l’issue de son rachat.
Enfin, la reprise d’une entreprise ne s’effectue qu’en de rares occasions sans le concours des banques. La plupart des repreneurs préfèrent ainsi organiser un LBO (Leverage buy-out) pour financer leur opération ; c'est-à-dire qu’ils avancent une proportion de capitaux propres pour procéder au rachat et complètent le coût à l’aide d’un prêt qui sera remboursé par les revenus de la société ainsi acquise.
Le soutien des banques peut alors être plus ou moins difficile à obtenir selon le type de reprise considéré, mais aussi selon le profil financier de repreneur. Si ce dernier est capable d’avancer un montant significatif de capitaux propre pour financer l’opération, les banques seront naturellement plus disposées à prêter pour compléter le prix du rachat. Dans le cas d’une reprise d’une entreprise en difficulté, le repreneur devra aussi faire preuve d’arguments solides pour prouver sa capacité à redresser l’affaire. Mais si le profil de l’entreprise cible a été dûment réalisé par le repreneur, les arguments sont en principe tout trouvés !
Pour ce faire, il n’est pas inutile de dresser un cahier des charges afin de faire le point sur le type d’entreprise recherchée par le repreneur. Fixer des critères a ici une fonction : s’assurer que l’entreprise retenue correspond effectivement avec les compétences du repreneur. En tant que futur dirigeant, il est en effet indispensable que celui-ci se projette dans ses futures fonctions et évalue au préalable et avec précision ses capacités à les remplir efficacement. Partir à la rencontre des cédants peut alors être judicieux.
Lorsqu’une ou plusieurs entreprises ont été identifiées comme potentiellement intéressantes. Le repreneur peut tout à fait anticiper les enjeux liés à la gestion de ces nouvelles affaires. Avant de procéder au rachat, il est tout à fait pertinent de chercher à connaître l’environnement de l’entreprise convoitée : comment se positionne la concurrence ? Y a-t-il des obligations légales dans le secteur ? Quels sont les défis technologiques qui se posent à l’entreprise ? En somme, une analyse de type PESTEL permettra au repreneur méticuleux d’éviter avantageusement toute mauvaise surprise à l’issue de son rachat.
Enfin, la reprise d’une entreprise ne s’effectue qu’en de rares occasions sans le concours des banques. La plupart des repreneurs préfèrent ainsi organiser un LBO (Leverage buy-out) pour financer leur opération ; c'est-à-dire qu’ils avancent une proportion de capitaux propres pour procéder au rachat et complètent le coût à l’aide d’un prêt qui sera remboursé par les revenus de la société ainsi acquise.
Le soutien des banques peut alors être plus ou moins difficile à obtenir selon le type de reprise considéré, mais aussi selon le profil financier de repreneur. Si ce dernier est capable d’avancer un montant significatif de capitaux propre pour financer l’opération, les banques seront naturellement plus disposées à prêter pour compléter le prix du rachat. Dans le cas d’une reprise d’une entreprise en difficulté, le repreneur devra aussi faire preuve d’arguments solides pour prouver sa capacité à redresser l’affaire. Mais si le profil de l’entreprise cible a été dûment réalisé par le repreneur, les arguments sont en principe tout trouvés !