Et un accord pourrait être trouvé assez rapidement, malgré l’ampleur du plan. La marque au carré rouge propose 5 000 départs sans licenciements secs d’ici 2019. Cette proposition a été soumise aux organisations syndicales, dont l’Unsa, la CGT et la CFDT. Elles n’ont encore rien signé, mais l’Unsa se félicite par exemple que la direction du groupe ait accepté qu’il n’y ait aucun licenciement sec et que le plan se base sur le volontariat.
Les conditions de départ sont basées sur le précédent plan daté de 2012, et qui comprennent de deux à trois mois de salaires par année d’ancienneté. Il semble clair que l’entreprise cherche à ménager la chèvre et le chou ; sa logique, et celle des discussions qui se sont tenues ce lundi 1er août, c’est d’aboutir à un accord.
Si les prémices semblent sur de bonnes bases, rien n’est encore fait. D’ailleurs, on prévient du côté des syndicats : la négociation est loin d’être aboutie, déclare-t-on à la CFDT. Du côté de la CGT, on rappelle que sur les 18 derniers mois, il y a eu 1 200 départs « contraints et forcés ». La direction doit donc montrer patte blanche, ce qui va sans doute être le plus difficile à réaliser.
Les conditions de départ sont basées sur le précédent plan daté de 2012, et qui comprennent de deux à trois mois de salaires par année d’ancienneté. Il semble clair que l’entreprise cherche à ménager la chèvre et le chou ; sa logique, et celle des discussions qui se sont tenues ce lundi 1er août, c’est d’aboutir à un accord.
Si les prémices semblent sur de bonnes bases, rien n’est encore fait. D’ailleurs, on prévient du côté des syndicats : la négociation est loin d’être aboutie, déclare-t-on à la CFDT. Du côté de la CGT, on rappelle que sur les 18 derniers mois, il y a eu 1 200 départs « contraints et forcés ». La direction doit donc montrer patte blanche, ce qui va sans doute être le plus difficile à réaliser.