C’est le 27 novembre que l’assemblée générale de Safran a validé, à une majorité écrasante (99,88%), l’absorption des activités de Zodiac au sein du groupe. Les différentes entités qui portaient le nom de Zodiac vont être rebaptisés au nom du nouveau propriétaire. Safran a l’intention de vendre les quelques activités de Zodiac qui ne rentrent pas dans la feuille de route de l’entreprise, à l’instar des pansements médicaux Novesil.
Safran a de l’ambition, beaucoup d’ambition, celle de devenir le premier équipementier aéronautique mondial d’ici 15 ans. Le groupe qui fabrique des moteurs, des équipements de cabine ou encore des systèmes électriques, veut dépasser United Technologies, son concurrent américain. Grâce à Zodiac, dont ce sera la dernière grosse acquisition avant longtemps, Safran est déjà numéro deux du secteur. Désormais, le groupe va miser sur la « croissance organique », a assuré la direction. En misant sur la recherche et le développement pour parvenir à son objectif : une hausse des investissements de 30% dans ce domaine est prévue.
En attendant, il va falloir absorber les différentes activités de Zodiac, dont la culture de gestion « à l’ancienne » est aux antipodes de celles de Safran. Une équipe d’une centaine de personnes travaille à cette intégration qui devra s’achever dans deux ans et générer des économies de 200 millions d’euros. Safran compte désormais 92 000 collaborateurs dans le monde, dont 45 000 en France.
Safran a de l’ambition, beaucoup d’ambition, celle de devenir le premier équipementier aéronautique mondial d’ici 15 ans. Le groupe qui fabrique des moteurs, des équipements de cabine ou encore des systèmes électriques, veut dépasser United Technologies, son concurrent américain. Grâce à Zodiac, dont ce sera la dernière grosse acquisition avant longtemps, Safran est déjà numéro deux du secteur. Désormais, le groupe va miser sur la « croissance organique », a assuré la direction. En misant sur la recherche et le développement pour parvenir à son objectif : une hausse des investissements de 30% dans ce domaine est prévue.
En attendant, il va falloir absorber les différentes activités de Zodiac, dont la culture de gestion « à l’ancienne » est aux antipodes de celles de Safran. Une équipe d’une centaine de personnes travaille à cette intégration qui devra s’achever dans deux ans et générer des économies de 200 millions d’euros. Safran compte désormais 92 000 collaborateurs dans le monde, dont 45 000 en France.