Ce mercredi 5 août 2015 la Société Générale a publié un bénéfice net de 1,35 milliard d'euros pour le deuxième trimestre 2015. C'est quasiment le double que ce qu'attendaient les analystes qui prévoyaient un bénéfice de "seulement" 856 millions d'euros selon le consensus. Forcément, en Bourse, cette publication a été bien accueillie.
Surtout, ce bénéfice tient compte aussi de la provision pour litiges qui a été portée à 1,3 milliard d'euros par la Société Générale. Ce sont 200 millions d'euros de plus pour lesquels la Société Générale n'a pas donné d'explications mais sans doute des enquêtes en cours sont la cause de cette augmentation de provision.
Toutefois, la Société Générale, malgré une hausse de 25% de son bénéfice net, fait moins bien que ses concurrentes françaises sur le deuxième trimestre. BNP Paribas a publié un bénéfice de 2,6 milliards d'euros pour la même période et le crédit Agricole de 1,5 milliard d'euros. C'est peut-être ce qui a conduit la Société Générale à annoncer un nouveau plan de réduction des coûts dans la foulée.
Ce plan prévoit, par des restructurations, de réduire les coûts de fonctionnement de groupe de 850 millions d'euros par an. Il se déroulera entre 2015 et 2017 et on ne sait pas encore s'il va y avoir un impact sur l'emploi.
Ce sera le deuxième plan de restructuration d'affilée après celui entamé en 2012 et atteint à 97%.
Surtout, ce bénéfice tient compte aussi de la provision pour litiges qui a été portée à 1,3 milliard d'euros par la Société Générale. Ce sont 200 millions d'euros de plus pour lesquels la Société Générale n'a pas donné d'explications mais sans doute des enquêtes en cours sont la cause de cette augmentation de provision.
Toutefois, la Société Générale, malgré une hausse de 25% de son bénéfice net, fait moins bien que ses concurrentes françaises sur le deuxième trimestre. BNP Paribas a publié un bénéfice de 2,6 milliards d'euros pour la même période et le crédit Agricole de 1,5 milliard d'euros. C'est peut-être ce qui a conduit la Société Générale à annoncer un nouveau plan de réduction des coûts dans la foulée.
Ce plan prévoit, par des restructurations, de réduire les coûts de fonctionnement de groupe de 850 millions d'euros par an. Il se déroulera entre 2015 et 2017 et on ne sait pas encore s'il va y avoir un impact sur l'emploi.
Ce sera le deuxième plan de restructuration d'affilée après celui entamé en 2012 et atteint à 97%.