Cette taxe sur l’électricité, baptisée contribution au service public de l’électricité (CSPE), rapporte la bagatelle de 6 milliards d’euros par an. Elle permet de financer le secteur des énergies renouvelables, puisqu’elle sert à couvrir les charges liées à l’acquisition de l’électricité issue des énergies renouvelables à prix bonifié.
Cette CSPE pèse tout de même 15% dans la facture d’électricité (la contribution augmente de 2,5% chaque année). Deux scénarios sont à l’étude du côté du ministère de l’Écologie, croit savoir le Journal du Dimanche : le premier est d’étaler la CSPE à la facture de gaz, ce qui aura pour effet de baisser celle d’électricité de 4%.
Mais en ajoutant le cocktail la facture de carburant, la baisse serait bien plus intéressante puisqu’elle se monterait à 10%. La facture de gaz resterait stable, celle de carburant compensant les deux autres. En cette période de pétrole abordable, l’équation pourrait être résolue ainsi… Cette réforme serait présentée à la rentrée avec une application pour le projet de loi de finances 2016.
Cette CSPE pèse tout de même 15% dans la facture d’électricité (la contribution augmente de 2,5% chaque année). Deux scénarios sont à l’étude du côté du ministère de l’Écologie, croit savoir le Journal du Dimanche : le premier est d’étaler la CSPE à la facture de gaz, ce qui aura pour effet de baisser celle d’électricité de 4%.
Mais en ajoutant le cocktail la facture de carburant, la baisse serait bien plus intéressante puisqu’elle se monterait à 10%. La facture de gaz resterait stable, celle de carburant compensant les deux autres. En cette période de pétrole abordable, l’équation pourrait être résolue ainsi… Cette réforme serait présentée à la rentrée avec une application pour le projet de loi de finances 2016.