Le New York Times a, mercredi 21 juin 2017 au matin, annoncé la nouvelle : Travis Kalanick aurait démissionné de son poste de PDG de la start-up mardi 20 juin 2017 dans la soirée. Une information qui n’a pas tardé à être confirmée par Uber dans un communiqué de presse diffusé dans la matinée. Travis Kalanick, fondateur d’Uber, n’en est donc plus le Président Directeur Général.
Selon le New York Times, cette décision ne se serait pas faite dans le calme : plusieurs investisseurs d’Uber, dont certains très puissants ayant un poste au Conseil d’Administration, auraient fait pression sur le PDG. Une lettre lui aurait été transmise dans la matinée du mardi 20 juin 2017 dans laquelle il lui était demandé de démissionner.
Travis Kalanick aurait eu de vives discussions avec ses conseillers et les membres du conseil d’administration d’Uber avant de finalement céder à la pression. Sa démission a été confirmée bien que le fondateur de l’entreprise conserve un siège au conseil d’administration et qu’il aura sans aucun doute son mot à dire lors des décisions les plus importantes.
Uber tourne ainsi une page de son histoire et espère remonter la pente : il doit redorer son image à commencer par le problème du harcèlement sexuel mis en avant par plusieurs anciennes collaboratrices de l’entreprise. De plus, Uber est en procès avec le géant Alphabet qui accuse l’entreprise Otto rachetée par Uber et fondée par un de ses anciens ingénieurs d’avoir volé de la technologie à sa filiale Waymo.
Selon le New York Times, cette décision ne se serait pas faite dans le calme : plusieurs investisseurs d’Uber, dont certains très puissants ayant un poste au Conseil d’Administration, auraient fait pression sur le PDG. Une lettre lui aurait été transmise dans la matinée du mardi 20 juin 2017 dans laquelle il lui était demandé de démissionner.
Travis Kalanick aurait eu de vives discussions avec ses conseillers et les membres du conseil d’administration d’Uber avant de finalement céder à la pression. Sa démission a été confirmée bien que le fondateur de l’entreprise conserve un siège au conseil d’administration et qu’il aura sans aucun doute son mot à dire lors des décisions les plus importantes.
Uber tourne ainsi une page de son histoire et espère remonter la pente : il doit redorer son image à commencer par le problème du harcèlement sexuel mis en avant par plusieurs anciennes collaboratrices de l’entreprise. De plus, Uber est en procès avec le géant Alphabet qui accuse l’entreprise Otto rachetée par Uber et fondée par un de ses anciens ingénieurs d’avoir volé de la technologie à sa filiale Waymo.