2016 aurait donc pu être l’année catastrophe pour Volkswagen : la crainte que les clients ne fuient la marque était réelle et le groupe a multiplié, début 2016, les promotions sur ses modèles afin de garder la clientèle. Puis ce fut le tour des nouveaux modèles d’être dévoilés, notamment au Salon de l’Auto de Paris, et le succès a été au rendez-vous.
Au final, l’année 2016 se termine sur des ventes en hausse pour le groupe allemand : +3 % par rapport à 2015. A part les Etats-Unis, où le marché est resté stable, et l’Amérique Latine, où le marché automobile recule de manière générale, les ventes en Europe ont augmenté et la Chine a terminé de tirer les résultats vers le haut. Une bonne année, donc, pour le groupe de Wolfsburg.
L’année 2016 pourrait même être si bonne que Volkswagen pourrait récupérer sa couronne de premier constructeur mondial d’automobiles, une couronne qui est détenue par Toyota, éternel concurrent de Volkswagen pour al première place du podium.
Le DieselGate n’aura donc pas miné la confiance des acheteurs et n’aura pas touché les ventes du groupe, mais il aura fait mal : outre les amendes, Volkswagen devrait licencier plusieurs dizaines de milliers de personnes pour redresser ses comptes. Et l’action du groupe en Bourse ne vaut toujours que la moitié de ce qu’elle valait en avril 2015.
Au final, l’année 2016 se termine sur des ventes en hausse pour le groupe allemand : +3 % par rapport à 2015. A part les Etats-Unis, où le marché est resté stable, et l’Amérique Latine, où le marché automobile recule de manière générale, les ventes en Europe ont augmenté et la Chine a terminé de tirer les résultats vers le haut. Une bonne année, donc, pour le groupe de Wolfsburg.
L’année 2016 pourrait même être si bonne que Volkswagen pourrait récupérer sa couronne de premier constructeur mondial d’automobiles, une couronne qui est détenue par Toyota, éternel concurrent de Volkswagen pour al première place du podium.
Le DieselGate n’aura donc pas miné la confiance des acheteurs et n’aura pas touché les ventes du groupe, mais il aura fait mal : outre les amendes, Volkswagen devrait licencier plusieurs dizaines de milliers de personnes pour redresser ses comptes. Et l’action du groupe en Bourse ne vaut toujours que la moitié de ce qu’elle valait en avril 2015.