Le consensus des économistes s'établissait à 10,5%, soit un taux stable entre novembre et décembre. Difficile de bouder la nouvelle que représente une baisse du taux de chômage évidemment, mais celle-ci n'est pas suffisamment forte pour accompagner une relance plus nette de l'économie de la zone euro.
Il faudrait pour cela que le chômage baisse de manière plus franche encore, ce qui ferait une pression à la hausse sur les salaires et permettrait de relancer la consommation. In fine, l'économie de la zone créerait de l'inflation, ce que cherche à faire la Banque centrale européenne en déversant des milliards d'euros dans la machine.
En attendant, il faudra faire avec ces chiffres pour le mois de décembre, qui place l'Allemagne en pole position avec 4,5% de chômage. La France en est encore loin, même si avec 10,2%, l'Hexagone se positionne un peu en dessous de la moyenne. La zone euro compte 16,75 millions de chômeurs.
Il faudrait pour cela que le chômage baisse de manière plus franche encore, ce qui ferait une pression à la hausse sur les salaires et permettrait de relancer la consommation. In fine, l'économie de la zone créerait de l'inflation, ce que cherche à faire la Banque centrale européenne en déversant des milliards d'euros dans la machine.
En attendant, il faudra faire avec ces chiffres pour le mois de décembre, qui place l'Allemagne en pole position avec 4,5% de chômage. La France en est encore loin, même si avec 10,2%, l'Hexagone se positionne un peu en dessous de la moyenne. La zone euro compte 16,75 millions de chômeurs.