Ce résultat confirme une tendance nette de ces derniers mois. En septembre, le taux de chômage en zone euro était passé sous la barre des 10%. Depuis, on observe une baisse régulière avec 0,1 point de moins pour février. Ce chiffre de 9,5% avait été prévu par les analystes, ce n’est donc pas une surprise ; néanmoins, cela reste une bonne nouvelle… même si tous les pays de la zone euro ne sont logés à la même enseigne.
Parmi les premiers de la classe, l’Allemagne et Malte, avec respectivement 3,9% et 4,1% de chômeurs, sont aussi proches que possible du plein emploi. À l’autre bout du spectre, l’Espagne avec 18% et la Grèce, avec 23,1%, sont les mauvais élèves parmi les 19 pays qui se partagent la monnaie unique. Autre statistique intéressante : le chômage des jeunes, endémique dans les lanternes rouges de la zone euro.
En Espagne, il est de 41,5%, en Grèce il grimpe à 45,2%. En contrepoint, le chômage des jeunes est de 6,6% seulement. Rappelons que la France affiche un taux de chômage de 10,0%, un chiffre qui n’a pas évolué depuis novembre dernier. Dans l’ensemble des 28 pays de l’Union européenne, le taux de chômage est de 8% — là aussi, du jamais vu depuis janvier 2009.
Parmi les premiers de la classe, l’Allemagne et Malte, avec respectivement 3,9% et 4,1% de chômeurs, sont aussi proches que possible du plein emploi. À l’autre bout du spectre, l’Espagne avec 18% et la Grèce, avec 23,1%, sont les mauvais élèves parmi les 19 pays qui se partagent la monnaie unique. Autre statistique intéressante : le chômage des jeunes, endémique dans les lanternes rouges de la zone euro.
En Espagne, il est de 41,5%, en Grèce il grimpe à 45,2%. En contrepoint, le chômage des jeunes est de 6,6% seulement. Rappelons que la France affiche un taux de chômage de 10,0%, un chiffre qui n’a pas évolué depuis novembre dernier. Dans l’ensemble des 28 pays de l’Union européenne, le taux de chômage est de 8% — là aussi, du jamais vu depuis janvier 2009.