Le journal suédois Sveska Dagbladet dévoile mardi 14 juin 2016 cette information qu'il dit tenir de sources proches du dossier au sein de l'entreprise. Une information que le groupe refuse de confirmer ou d'infirmer, parlant de "rumeurs et spéculations" et précisant qu'il a déjà annoncé en 2014 un plan de réduction des coûts.
Selon le quotidien suédois, le nouveau plan prévoirait la suppression de près de 15 000 emplois, un peu moins de 10 % des effectifs du groupe qui emploie 116 000 personnes dans le monde. Toutefois, cette suppression ne ferait pas tomber le nombre d'employés en-dessous du niveau de 2010, lorsque le PDG d'Ericsson a changé. Depuis lors, Ericsson a embauché près de 30 000 personnes.
Les premiers départs sont déjà attendus à l'été 2016 : entre 3 000 et 4 000 salariés devraient être licenciés avant le quatrième trimestre 2016.
Avec ces suppressions d'emplois, le groupe espère réaliser 960 millions d'euros d'économies par an et, surtout, stabiliser ses coûts. Ainsi faisant, le groupe espère faire remonter la pente à son action qui a perdu 46,5 % de sa valeur en un peu plus d'un an... notamment à cause des embauches qui ont fait chuter les résultats. Depuis le début de l'année 2016, la chute s'est accélérée et le titre a perdu 26 % de sa valeur.
Selon le quotidien suédois, le nouveau plan prévoirait la suppression de près de 15 000 emplois, un peu moins de 10 % des effectifs du groupe qui emploie 116 000 personnes dans le monde. Toutefois, cette suppression ne ferait pas tomber le nombre d'employés en-dessous du niveau de 2010, lorsque le PDG d'Ericsson a changé. Depuis lors, Ericsson a embauché près de 30 000 personnes.
Les premiers départs sont déjà attendus à l'été 2016 : entre 3 000 et 4 000 salariés devraient être licenciés avant le quatrième trimestre 2016.
Avec ces suppressions d'emplois, le groupe espère réaliser 960 millions d'euros d'économies par an et, surtout, stabiliser ses coûts. Ainsi faisant, le groupe espère faire remonter la pente à son action qui a perdu 46,5 % de sa valeur en un peu plus d'un an... notamment à cause des embauches qui ont fait chuter les résultats. Depuis le début de l'année 2016, la chute s'est accélérée et le titre a perdu 26 % de sa valeur.